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Olivier Giroud

Démarré par Vince, 25-06-2012, 16:20:47

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cafetino

Perso j'apprécie Giroud tant sur le plan joueur ou son comportement d'homme.Jamais de vagues,de propos déplacés, ok cela peut déranger certains, moi Giroud je soutiens et j'y crois pour le club.
"focused and confident"

Bouligoal

Citation de: cafetino le 05-06-2016, 20:36:44
Perso j'apprécie Giroud tant sur le plan joueur ou son comportement d'homme.Jamais de vagues,de propos déplacés, ok cela peut déranger certains, moi Giroud je soutiens et j'y crois pour le club.

Jamais de vagues sauf celle de la masseuse à l'hôtel en veille de match ? :na:
229 !!!!!!!!!!!!!!!!!!

Bouligoal

Citation de: Vince le 02-06-2016, 15:30:25
Et pour l'instant on peut pas nier non plus qu'on a connu pire en terme de sifflets ou hu
229 !!!!!!!!!!!!!!!!!!

cafetino

"focused and confident"

DiosBergkamp

Il dit pas que c'est terrible et intolérable, mais dire que Giroud fait jamais de vague alors que c'est peut-être celui qui en fait le plus chez nous depuis Bendtner :P (et Jack qui est dans le viseur des tabloïdes)

Vince

C'est parce qu'on a beaucoup de joueurs qui font pas beaucoup de vague :lol:


TheMerse

Et il me semble qu'il s'est chopp

cafetino

"focused and confident"

TheMerse



Vince

Il est quand même, dans le contexte du Football actuel, un joueur qui fait très peu de vague. Il fait partie des joueurs très respectueux, polis, qui sont de bons exemples pour les jeunes. 

Mais bien sûr il est humain, il a peut-être oublié de baisser la cuvette aussi un jour ..

Vince

CiterInterview Giroud



http://sport24.lefigaro.fr/football/euro-2016/actualites/olivier-giroud-je-reve-d-un-destin-a-la-trezeguet-808948


Titulaire face à la Roumanie vendredi soir, l'attaquant français se confie au Figaro. Entretien 100 % bleu.
Souriant et détendu avant l'entrée en lice des Bleus contre la Roumanie au Stade de France, Olivier Giroud a pris le temps de se confier au Figaro sur sa relation, ses souvenirs et ambitions autour de la sélection. «Merci de me faire parler d'autres sujets», souffle-t-il avant de répondre à nos questions, lui qui n'a cessé de répondre, durant la préparation, aux questions autour de Karim Benzema ou des récentes polémiques.

LE FIGARO. Quel est votre premier souvenir d'un match des Bleus ?
Olivier Giroud : France-Bulgarie en 1993 au Parc des Princes avec le but de Kostadinov qui nous empêche d'aller à la Coupe du monde aux Etats-Unis. J'avais sept ans et c'était ma première tristesse avec les Bleus. Un mauvais souvenir (rires).

Quelle était votre idole de jeunesse ?
Jean-Pierre Papin ! Il était attaquant, comme moi, donc ça rapproche forcément. Mais pas seulement. Il mettait des belles «Papinades», un geste que j'essayais de reproduire gamin avec mes copains. Encore maintenant à l'entraînement, il y en a quelques-uns qui peuvent témoigner de mes bicyclettes (sourire). En revanche, je me casse le dos à chaque fois quand je retombe (rires). Et je n'oublie pas Zidane qui m'a fait rêver comme tout le monde en 1998.

Etait-ce un rituel dans votre famille de suivre les rencontres de l'équipe de France ?
Complètement. A partir de 1998, j'étais un supporter inconditionnel. C'est vraiment la compétition que j'ai suivie avec le plus de ferveur. En famille, on se mettait du bleu-blanc-rouge sur le visage. Le 12 juillet 1998 on était même parti klaxonner pour fêter le sacre.

Où étiez-vous pour le succès des Bleus lors de l'Euro 2000 ?
Aux Etats-Unis avec mon club. J'avais 14 ans et malgré le décalage horaire c'était fou. On avait fait la fête comme des dingues (sourire). Ces deux événements ont marqué mon enfance et m'ont plus que jamais conforté dans l'idée d'être footballeur.

A ce moment-là, vous rêvez déjà d'équipe de France ?
Pas du tout ! On ne s'imagine pas le quart de tout ça. Forcément, ça donne des rêves plein la tête, plein les yeux, comme tous les jeunes qui débutent le football, mais de là à penser intégrer un jour la sélection, jamais de la vie.

Vous détonnez dans le monde du foot avec un parcours singulier...
Je n'ai pas signé dans un grand club à 17 ans après des années au centre de formation. Je n'étais pas promis à une carrière toute tracée et il a fallu aller la chercher. Je suis fier de mon parcours. Dans ma progression, c'est bête à dire mais c'est le cas, j'ai toujours été étape par étape. J'ai connu des moments délicats et importants avec des saisons en remplaçant, le National, la Ligue 2, puis la Ligue 1 avec Montpellier. Après, les exemples comme Franck Ribéry, «Valbu» (Valbuena), ou Lolo (Koscielny), qui ont connu des parcours atypique avant d'accéder aux Bleus, il y en a de plus en plus.

Quand vous étiez à Tours en Ligue 2, la sélection vous semblait-elle impossible à atteindre ...
Complètement. Mon objectif à cette époque (2008-2010) était de devenir meilleur buteur du championnat. Vous imaginez bien que je ne pensais pas du tout à l'équipe de France (sourire). A ce moment, j'ambitionnais de jouer en Ligue 1 et en Angleterre. Alors les Bleus ... Quand j'ai commencé à enchaîné les buts en L1, j'entendais déjà des petits bruits sur une sélection. Mais il m'en a fallu du temps (Ndlr : première sélection  le 11 novembre 2011 face aux Etats-Unis).

Comment l'avez-vous appris ?
Mes coachs à Montpellier, René Girard et Pascal Baills, m'avaient glissé au sortir d'un entraînement que j'allais être appelé. J'étais comme un dingue. J'en avais des frissons.

Est-ce une force d'avoir «galéré» par rapport à vos partenaires et adversaires ?
Oui, certainement. Cela me permet de relativiser certaines choses. Je suis conscient d'être un privilégié même si j'ai su saisir ma chance. On peut dire que j'ai une bonne étoile au-dessus de ma tête.

En novembre 2011, vous entrez sur la pelouse du Stade de France pour la première fois de votre carrière avec le maillot tricolore. Racontez-nous ...
Qu'est-ce qu'il était lourd et grand à porter ce maillot (rires) ! Tu penses à ta famille, tes proches, tu frissonnes quand tu entends ton nom dans le stade. Ce n'était pas évident de dormir la veille du match. Mon premier maillot, je le garderai à vie. Personne ne pourra me le piquer (sourire).

Et votre première Marseillaise ?
Là-aussi, un grand moment. Elle avait une saveur particulière car j'ai appris l'hymne par cœur avec ma grand-mère quand j'étais gamin. Elle s'appelle Antonia, d'origine italienne. Je n'avais pas 10 ans et elle tenait absolument que je maîtrise à la perfection toutes les paroles et surtout le sens de chaque phrase. Cela fait partie des valeurs qu'on m'a inculquées et qui ont un sens aujourd'hui. C'était un souvenir magnifique.

Malgré les critiques, vous poursuivez votre parcours en sélection. Vous semblez marcher à l'orgueil...
Possible. J'attache beaucoup d'importance à l'une de mes devises, qui m'a été rabâchée par mon frère : «la construction de la route vers la réussite n'est jamais terminée». Encore plus dans le football où, après chaque week-end, on peut te tomber dessus comme te féliciter. Il fallait prouver, avoir envie de marquer des buts, gagner des titres. Et marquer l'histoire. C'est ce que je souhaite. Je veux rendre fier mes proches et ma famille.

C'est votre but avec cet Euro en France : marquer l'histoire ?
Bien sûr. On représente tous les Français et c'est un devoir de donner le maximum et de rendre fier notre public. Quand tu joues un Euro à domicile, c'est logique de vouloir laisser une trace dans l'histoire de l'équipe de France. Il y a une grosse attente, mais on est prêt. Le défi m'excite. Quand la compétition va commencer, l'engouement sera énorme. Je n'ai pas encore besoin de somnifère pour dormir et j'espère que j'en arriverais pas là (sourire).

Etes-vous devant le plus grand défi de votre carrière ?
Oui. La pression sera là, mais il ne faut pas qu'elle soit inhibitrice. Je suis impatient de me retrouver au Stade de France contre la Roumanie et d'ouvrir les hostilités.

De quel destin rêvez-vous ?
Un destin à la Michel Platini qui a marqué neuf buts pendant un Euro, c'est juste énorme. Il y a le destin à la David Trezeguet qui marque le but en or contre l'Italie en 2000. C'est pas mal ça (son visage s'illumine). Ça m'irait bien pour tout vous dire. Je signe tout de suite pour que cela se produise. Peu importe moi ou un autre. Gagner l'Euro est notre objectif commun.

clarck59


17Alexis

 :tits: Et encore buteur pour les bleus  :ascfr:
8 buts sur les 8 derniers matchs , 18 en 50 matchs seuls Henry et Trezeguet on fait mieux que lui da's l'histoire en autant d'apparitions, de quoi rabattre le caquet d'un paquet de footix de mon entourage ^^

gunner4life

J aime bien entendre les nanars comme Rothen juger giroud sur des qualités qu il n à pas comme le jeu en profondeur.....ça me fait rire.

clarck59

Félicitation pour son but :up:
C'est toujours important d'inscrire le premier but pour bien lancer la compétition.

Lba

Citation de: gunner4life le 11-06-2016, 04:27:03
J aime bien entendre les nanars comme Rothen juger giroud sur des qualités qu il n à pas comme le jeu en profondeur.....ça me fait rire.


Bah il n'a pas tort. Et je trouve même que Giroud est moins bon avec nous et en Bleu niveau point d'appui, il participe moins au jeu qu'il fut un temps avec des déviations des une deux et le reste. Mais il a claqué, mes potes en ont pris plein les oreilles du genre "Continue Oliv tu fermes un peu plus pas mal de bouches"

Je suis content pour lui

jones79

Encore un but pour lui, hier soir. Très content pour ce joueur tant critiqué ce dernier temps.

Rudeboy

Bon match, et joli but!!! Que ca continue!! :strong:

DiosBergkamp

Faut pas que les journalistes commencent à trop le féliciter sinon il ça se reposer sur ses acquis et repartira sur 15 matchs sans but

Taz

La plus part des spécialistes autour de la table ont parlés de faute sur le gardien direct àprès le match.
C'était surtout pas un match facile pour lui avec ce bloc bien regroupé donc bonne préstation pour ce premier match :up:
Only One Arsenal ! ! ! 


TheMerse

Citation de: Taz le 11-06-2016, 15:43:01
La plus part des spécialistes autour de la table ont parlés de faute sur le gardien direct àprès le match.
C'était surtout pas un match facile pour lui avec ce bloc bien regroupé donc bonne préstation pour ce premier match :up:


Je pense effectivement que le premier but est limite....en PL, ça passe à l'aise mais pas dans les autres championnats européens et encore moins à l'Euro...
Bien joué de sa part en tout cas...

Vince

John Stones - L'adversaire le plus coriace



Le défenseur d'Everton a declaré que Giroud était l'attaquant le plus redoutable qu'il ait rencontré dans sa courte carrière. "Aguero et Suarez sont de grands joueurs, très mobiles. Mais honnùtement, Olivier Giroud, on ne réalise pas à quel point il est puissant. Quand on s'approche de lui, il sait vous tenir à distance, et la qualité de ses premières touches est superbe."

Vince

Bilic - C'est un grand joueur

Le coach de West Ham a déclaré sur ITV : "Pour moi c'est un grand joueur. Son body langage n'est pas typiquement britannique, donc quand il es frustré, beaucoup interprète ça comme un manque de volonté. C'est son problème. A part ça, il est peut-être victime du fait de jouer dans un très grand Club, où on lui demande de marquer chaque semaine. Mais quand on regarde ses stats avec Arsenal et la France, elles parlent d'elles mêmes. C'est un grand joueur."

vanpverm


gunner4life

Bon match en EdF.  On n entend moins ses détracteurs.....et je ne fais pas référence à notre forum. Il montre que même sans marquer il a son importance comme pivot. Sans lui Griezmann ne marque pas.

Vince

Ah oui tiens, personne n'a parl

Bouligoal

C'est clair. Idem contre la Roumanie, le but qu'il met, il n'y a que lui pour le mettre. Et vs l'Irlande, il permet en deux fois
229 !!!!!!!!!!!!!!!!!!

kikijuju88