Arsenal Supporter Club France

Champion's League

Démarré par RedArmy, 17-02-2008, 01:09:24

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Vince

Parce que les Clubs vendeurs savaient qu'ils vendraient plus cher à d'autres Clubs, quitte a attendre 6 mois.

Steve

Comme pour Cahill? :lol:

Vince

Ouai sauf que Bolton s'est fait avoir sur ce coup, ils ont préféré attendre, attendre, attendre, finalement ils ont été forcé de vendre à Chelsea peut-être aussi cher ou moins cher qu'à Arsenal 6 mois plus tôt. Si ça peut servir de leçon aux autres Clubs ce serait bien.

DiosBergkamp

Citation de: SteveEnfin arsenal ne dépense pas tellement sur le marché contrairement au Bayern. On aurait pu avoir ribery ou robben en y mettant le prix. Pour les exemples les plus récents et dont on a connaissance, Cahill, Xabi Alonso, on aurait pu les avoir pour 4 et 2m€ de plus!
Non pour Ribéry c'était impossible.
Et pour Robben, 99% du forum aurait crié au scandale vu son amour de l'infirmerie

Atys

En dehors de l'aspect marché qui est effectivement différent entre l'Allemagne et l'angleterre de par la concurrence il y a quand même une similitude de philosophie entre le Bayern et Arsenal. Tout comme il peut y avoir une similitude entre City par ex et le PSG.
Par contre la différence c'est le palmarès et cette année va encore creuser l'écart, j'espère qu'on saura dépenser enfin à bon escient cet été

Atys

Selon le Daily Mail, la finale de la C1 devrait rapporter 55 millions d'euros au club londonien. Somme à laquelle il faut ajouter 3 millions d'euros promis au vainqueur. Soit 58 millions d'euros provenant essentiellement des droits TV . Cette somme dit forcément quelque chose aux fans des Blues. C'est l'investissement fait par Chelsea pour s'attacher les services de Fernando Torres. Rembourser le transfert le plus onéreux de l'histoire du club sur une campagne européenne : voilà la bonne affaire d'une saison où Chelsea n'était pas du tout attendu si loin dans la compétition.
Article rédigé le 26 avr. 2012 à 19h57

En plus ils font du fric ... Merde !

TheArmoury

Que ça fait plaisir cette qualif du Bayern :love:
Tous les Espagnols voulaient leur classico, dans le cul lulu :P

Le pénalty de Ramos :| Après on me dit qu'un pénalty peut se rater, même un professionnel, mais là quand même, la mettre 5 mètres au dessus de la barre :wtf:

CiterEn plus ils font du fric ... Merde !
à ce chiffre, il faudra retirer la prime à l'ensemble du staff en cas de victoire, et connaissant Chelsea, elle ne doit pas être petite :lmao:

Steve

Citation de: DiosBergkampNon pour Ribéry c'était impossible.
Et pour Robben, 99% du forum aurait crié au scandale vu son amour de l'infirmerie
Pourquoi?

Vince

[large]Wenger - Je pourrai supporter Chelsea en finale[/large]



\"Regardez, si on finit 3ème, on voudra que Chelsea gagne car c'est bien pour la Premier League. Si on finit 4ème, ce serai masochiste de souhaiter d'être éliminé de la Champion's League. On ne peut pas me demander l'impossible. C'est pourquoi la règle est un peu vicieuse. Je pense que tout le monde en Angleterre aimerai bien qu'un Club anglais gagne la Champion's League, mais le 4ème aimerai bien la jouer la saison prochaine. N'oublions pas non plus que le 4ème pourrait être Chelsea, on ne le sait pas encore. Ce que l'on veut c'est finir 3ème et ne pas être dans cette situation - on est maître de notre destin. Si on gagne nos match, ce n'est pas un problème pour nous. Donc espérons que lors de la final on soit pour Chelsea!\"

[large]'On accepte ce règlement'[/large]

\"Ce n'est pas complètement juste. Le problème c'est, si un autre équipe gagne la Champion's League rien ne change. Donc c'est un peu illogique qu'une équipe qui finit 4ème ne soit plus qualifiée à cause de ça. C'est le règlement, tout le monde le connait avant le début de la saison, personne ne se plaint et si Chelsea gagne alors l'Angleterre aura toujours 4 représentant en Champion's League la saison prochaine. Il faut l'accepter.

On a eu ce débat à Geneve il y a longtemps [garder la 4ème place qualificative pour les barrage malgré tout]. A l'époque le vainqueur de la Champion's League n'était pas qualifié d'office si il ne s'était pas qualifié par le championnat. On a décidé que c'était injuste que le vainqueur n'ait pas l'occasion de défendre son titre.

La surprise cette saison c'est que Chelsea n'est même pas dans le top4 en ce moment, et que le Bayern ne sera pas premier de leur championnat. Ca montre l'imprévisibilité de la Champion's League car personne cette saison n'aurait pu s'attendre à cette finale.\"

Atys

oui bon pour mettre tout le monde d'accord, on gagne nos 3 matchs, on regarde la finale à la télé et on plie les gaules ...
Ensuite on recrute et on la joue enfin cette finale l'an prochain ...:D

clarck59

Même si on finit 3ème je ne souhaite pas la victoire de Chelsea :fight:
Le Bayern devant son public, ça serait une belle victoire :up::up:

fabrice17

belle équipe ce bayern, agréable a regarder et en plus au rendez vous a la maison :respect:

fabrice17

Citation de: BouligoalArrêtez de paniquer pour cette 4ème place ! Déjà faudrait que Chelsea la gagne cette finale et sincèrement je n'y crois pas une seconde ! Autant je les voyais éliminer le Barca, autant pour moi la LDC est pour le Réal cette année ! ;)
:cheers:

DiosBergkamp

Citation de: Steve
Citation de: DiosBergkampNon pour Ribéry c'était impossible.
Et pour Robben, 99% du forum aurait crié au scandale vu son amour de l'infirmerie
Pourquoi?
Parcequ'il a couté plus de 25M. Et 25M il y a quelques années c'était un top transfert, on ne pouvait pas rivaliser. Je crois aussi que son salaire était pas dégueux, et qu'ils ont du l'augmenter vu qu'i menacait de partir.

Atys

Ribery a passé un scan avant la finale[img align=C]http://i49.tinypic.com/v8ptee.jpg[/img]

Bouligoal

229 !!!!!!!!!!!!!!!!!!

clarck59

Nan mais lui il a un cerveau nul part.

Bouligoal

Mon coeur balance entre préférer voir les spurs se faire entuber profondément ou préférer ne pas voir Chelsea soulever ce trophée pour la 1ère fois de leur histoire, et surtout avant NOUS !???

Et je crois que j'ai fait mon choix : Allez BAYERN !!! Je ne veux vraiment pas voir Chelsea gagner ce trophée avant nous et donner une nouvelle fois raison aux pétrodollars !
229 !!!!!!!!!!!!!!!!!!

Taz

bien sure allez bayern sans aucun doute possible !!!

le tour préliminaire de la C1 sera compliqué et tootenshit peut ce faire sortir très vite !
Only One Arsenal ! ! ! 


TheArmoury

Qualifés directement pour la phase de Poules

1. Manchester City
2. Manchester United
3. Arsenal
4. Chelsea ??
5. Real Madrid
6. FC Barcelona
7. Valencia CF
8. Borussia Dortmund
9. Bayern Munchen
10. Schalke 04
11. Juventus Turin
12. AC Milan
13. Montpellier
14. Paris Saint-Germain
15. FC Porto
16. Benfica Lisbonne
17. Zenit St. Petersburg
18. Shakhtar Donetsk
19. Ajax Amsterdam
20. Galatasaray
21. Olympiakos
22. FC Copenhagen
23. Anderlecht ??

Si le Bayern Munich remporte la Ligue des Champions, le RSC Anderlecht se qualifie directement pour la phase de groupes. Si Chelsea la remporte, Tottenham jouera l'Europa League et Chelsea est qualifié directement en CL.


Qualifiés pour la phase de barrages

1. Tottenham Hotspur ??
2. Borussia Mönchengladbach
3. Lille OSC
4. Málaga CF
5. Udinese Calcio

TheMerse

Citation de: Tazbien sure allez bayern sans aucun doute possible !!!

le tour préliminaire de la C1 sera compliqué et tootenshit peut ce faire sortir très vite !
Bof....

TheArmoury

C'est sûr qu'on s'est promené vs Udinese TheMerse :P

clarck59

Moi je les vois bien gagner Chelsea.
Le Bayern a l'avantage de jouer chez lui, mais est-ce vraiment un avantage car tu es favori avec une pression énorme de ne pas décevoir les supporters.
Je vois bien Chelsea refaire le coup du Barca :shrug:

Vince


TheArmoury

ça dit le contraire dans ton article :sorry:

gunners_dz

Si Chel$ki gagne; l'Angleterre aura quatre équipes qualifier d'office :P

Gunnerski

Si Chelsea gagne, Tottenham est reversé en Europa League et Anderlecht a un tour de plus à jouer.
Quoiqu'il arrive, on est déjà qualifié pour la phase de groupes.

Taz

CiterBayern, le compte est bon

Finaliste de \"sa\" Ligue des champions, le club munichois donne la leçon à Chelsea et à tous les grands d'Europe sur le terrain économique.

La performance est marquante. Suffisamment pour qu'elle \"ne relève pas du hasard\". Face à Chelsea, le Bayern jouera la finale de \"sa\" Ligue des champions. Deux ans après en avoir perdu une autre, face à l'Inter Milan (0-2). Frédéric Bolotny, économiste du sport, voit dans cette régularité un signe : le géant bavarois va bien, merci pour lui. Il récolte aujourd'hui les fruits d'une stratégie mûrement pensée, rigoureusement appliquée. Résultat : le club munichois génère des revenus annuels pharaoniques. Selon la dernière étude \"Football Money League\" du cabinet Deloitte, publiée en février dernier, ils se chiffrent à 321,4 millions d'euros pour l'exercice 2009-2010. Cela fait du Bayern \"un membre à part entière du Big Four européen\", dixit Bolotny. Derrière le Real (497,5 millions), le Barça (450,7) et Manchester United (367). Mais loin devant les 249,8 millions d'euros empochés par Chelsea.

A l'instar des Blues, les concurrents européens du Bayern cherchent un second souffle économique. L'ogre bavarois l'a déjà trouvé. Son modèle de développement, Bolotny le juge \"vertueux et a priori pérenne\". \"Il repose sur une maîtrise de l'outil de travail, le stade, mais aussi sur une certaine sagesse dans les recrutements, explicite l'économiste. Les clubs de Bundesliga ne font jamais de folies sur le marché des transferts.\" La fameuse rigueur allemande ne serait donc pas une légende. Jugez plutôt : quand la masse salariale du Bayern atteint quelque 158 millions d'euros en 2010, celle de Chelsea s'estime à 209 millions. Mieux, quand le Bayern dégage 1,3 millions de bénéfices, Chelsea accuse des pertes colossales, évaluées à 83 millions. De là à prétendre que le modèle anglais est en fin de vie... \"En tout cas, il s'essouffle, assure Wulfran Devauchelle, consultant Sport-Secteur Public au sein du cabinet Kurt Salmon. La politique inflationniste de Chelsea a atteint ses limites. Elle est même en bout de course. Il suffit de regarder la colonne vertébrale de l'équipe : Cech, Terry, Lampard et Drogba sont des joueurs plutôt en fin de carrière. C'est un club qui mène un train de vie largement supérieur à ses capacités financières. Et surtout, extrêmement dépendant de son propriétaire. Si demain, Roman Abramovitch se désengage, Chelsea sera en danger.\"

\"Le Bayern a su diversifier ses revenus\"

Le Bayern n'a pas ces préoccupations. Adidas et Audi ne détiennent à eux deux que 18,2% de son capital. Les 81,8% restants sont la propriété de l'association sportive. Et même s'il court depuis onze ans après sa cinquième Ligue des champions, le club aux vingt-deux couronnes nationales est, reprend Devauchelle, \"dans une phase d'expansion exceptionnelle\". La preuve : entre 2007 et 2011, le chiffres d'affaires munichois a progressé de 44%. Quatre fois plus que celui de Chelsea sur la même période ! Cet écart s'explique. \"Le Bayern a su diversifier ses revenus, décrypte Bolotny. Sa structure de recettes est beaucoup plus équilibrée. Cela lui permet de limiter les risques et de se développer plus rapidement.\" \"En période de crise économique, il est vital de ne pas être dépendant d'une seule ressource, confirme Devauchelle. La stratégie munichoise repose sur plusieurs piliers.\" Pas celle de Chelsea. En 2009-2010, 44% de ses revenus provenaient des droits TV. Soit un pactole de 112,3 millions d'euros. Pendant ce temps-là, le Bayern n'en empochait \"que\" 71,8 millions. Soit seulement 22% de son chiffre d'affaires. Autant que les revenus \"matchday\", liés essentiellement à la billetterie.

Mais c'est avant tout dans sa capacité à développer des revenus commerciaux que le club allemand fait la différence. Le Bayern est passé maître dans l'art du sponsoring et du merchandising. Parce que, justifie Bolotny, \"c'est un club à forte tradition, une grande marque historique du football européen\". Une marque qui a su monétiser sa notoriété et son image en renégociant brillamment son contrat avec l'équipementier Adidas. Il garantit au club munichois 25 millions d'euros par saison jusqu'en 2020. Le naming de l'Allianz Arena, l'enceinte bavaroise aux 69000 places inaugurée en 2005, est aussi le plus juteux d'Europe : 90 millions d'euros sur quinze ans. \"La Coupe du monde 2006 été un vrai accélérateur pour le football allemand, souligne Bolotny. Le Bayern a su prendre ce virage de modernisation des stades.\" Patiemment. Intelligemment. Munich s'est construit pierre après pierre. En constituant un effectif pertinent, qui ne s'appuie pas seulement sur des stars en pleine force de l'âge, telles que Franck Ribéry (29 ans), Arjen Robben (28 ans), Philipp Lahm (28 ans), Bastian Schweinsteiger (27 ans) et Mario Gomez (26 ans). \"Il est aussi porté par une jeune génération, note Devauchelle. Celle des Neuer, Badstuber, Boateng, Alaba Müller et Kroos. Tous ces joueurs-là ont de beaux jours devant eux et, de ce fait, représentent une valeur marchande croissante.\"

2013, c'est déjà demain

De toute façon, les dirigeants munichois n'auront pas besoin de vendre leurs trésors pour s'assurer un avenir que l'on annonce radieux. \"On peut même supposer qu'à terme, le Bayern sera le club le plus rentable d'Europe, prédit Bolotny. Ses principaux concurrents européens vont devoir changer de modèle pour s'adapter aux règles du fair-play financier.\" Autrement dit, dès 2013, ils devront se serrer la ceinture. Cesser de dépenser plus qu'ils ne gagnent. Cette règle, le Bayern n'aura aucun mal à la respecter. Il en a déjà largement les moyens. \"Parce que sa gestion est saine, parce que ce club n'est pas endetté, et qu'il a déjà bientôt fini de rembourser son nouveau stade\", explique Devauchelle. Mais aussi parce que, cerise sur le gâteau, les droits TV domestiques de la Bundesliga viennent d'être renégociés à la hausse, passant de 420 millions d'euros à 628 millions d'euros par an. Le Bayern s'apprête ainsi à empocher 13 millions supplémentaires par saison. Et lors du prochain exercice comptable, son brillant parcours en Ligue des champions lui rapportera sensiblement autant. Cette manne n'est pas vitale pour sa pérennité. Elle s'apparente à un bonus, qui \"va lui permettre de poursuivre son expansion\".

Sa marge de manœuvre est d'autant plus grande que sur certains aspects, la Bundesliga est encore à la traîne par rapport à la Premier League. Chaque match à l'Allianz Arena attire près de 69000 spectateurs. De son côté, Stamford Bridge ne peut accueillir que 41500 supporters. Et pourtant, la billetterie rapporte plus à Chelsea (74,7 millions par an) qu'au Bayern (71,9 millions). Pourquoi ? Tout simplement parce que le prix du ticket moyen est autrement plus élevé outre-Manche (44,58 euros) qu'outre-Rhin (32,15). Sans aller jusqu'à s'aligner sur les tarifs anglais, les clubs allemands seront probablement tentés d'augmenter le prix des places. Pour dégager des marges plus confortables. Pour hisser la très rentable Bundesliga et ses 53 millions d'euros de bénéfices annuels au sommet de la hiérarchie européenne. Deuxième puissance économique du football continental, l'Allemagne a déjà dépassé l'Italie et l'Espagne. Il lui reste à déloger la Premier League, \"le championnat qui génère encore le plus de ressources mais qui, déplore Bolotny, souffre d'un problème de régulation\".

La Premier League dans le viseur

Si elle veut supplanter l'Angleterre, l'Allemagne du foot devra, \"maintenant que les bases sont solides, prendre plus de risques financiers\". Traduction : mettre davantage la main au portefeuille sur le marché des transferts. Il lui faudra surtout apprendre à ne plus vivre dans l'ombre du Bayern. Sous-entendu, favoriser l'émergence de clubs comme Dortmund, qui règne aujourd'hui sur l'Allemagne. Voire de Schalke qui, à l'instar du Borussia, fait partie du Top 20 des clubs européens les plus riches. \"La problématique, affirme Bolotny, c'est de trouver un équilibre entre un championnat ouvert, attractif, avec des stars, qui n'est pas joué d'avance et qui permettent à ses représentants d'être performants sur la scène européenne. La Bundesliga me paraît être le championnat le mieux placé pour respecter ces deux objectifs contraires.\"

Car dans sa capacité à attirer les gens au stade, la Bundesliga écrase la concurrence. Sur la planète sport, seules les affluences de la NFL, le championnat de football américain, excèdent celles de la Bundesliga. Devauchelle va même plus loin : \"C'est précisément cette visibilité qui permet aux clubs allemands de commercialiser leur produit, puis d'attirer des partenaires privés et des nouveaux sponsors.\" La Premier League en a fatalement pris de la graine. Si bien que, dans les prochaines années, Bolotny imagine la disparition pure et simple de \"son modèle artificiel, qui nuit à la pérennité économique et à l'image du football\". Pour l'économiste, \"l'Allemagne est LE modèle à suivre, le meilleur mix entre développement économique et équilibre des ressources\". Le Bayern, lui, en est \"son plus beau fleuron\".
Eurosport
Only One Arsenal ! ! ! 


Nytak

très bon article

TheArmoury

Très intéressant.
La philosophie du Bayern est sensiblement la même que la nôtre sauf que le Bayern est un très très grand d'Europe qui arrive à garder ses grands joueurs alors que tous les ans, nous les perdons.
Si on voudra passer le cap de l'éternel outsider, il faudra comme dit dans l'article, prendre des risques financiers sur le marché des transferts.