Arsenal Supporter Club France

Robert Pires

Démarré par Vince, 18-09-2008, 17:04:02

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The Iceman

Citation de: adamAlala ce 50eme match. . :sad::sad::rouge::box:
A vomir ! On doit les réduire en miettes ces ordures cette année !!! :mad::mad::mad::box::box::box:

gunner4life

comment fait riley pour ne pas exclure ferdinand sur sa faute sur ljunberg ????? c'est impossible de ne pas mettre rouge

RedArmy


AMSTERDAM

Abusé cette vidéo
Hé oué mon gars !

Bouligoal

Citation de: gunner4lifecomment fait riley pour ne pas exclure ferdinand sur sa faute sur ljunberg ????? c'est impossible de ne pas mettre rouge
C'est surtout impossible de ne pas siffler faute tout simplement ... :wtf:

RDV à Super Rob la semaine prochaine ! :green:
229 !!!!!!!!!!!!!!!!!!

RedArmy


viper83

\"Recruté la semaine dernière par Aston Villa, le champion du monde français Robert Pires a étrenné ses nouvelles couleurs dimanche contre Blackburn. Entré à la 68e minute, l'ex joueur d'Arsenal et de Villarreal, aujourd'hui âgé de 37 ans, n'a rien pu faire pour inverser la tendance d'un match qui échappait à son équipe. Aston Villa s'est finalement incliné 2-0.\"
Come on Gunners !!!

gunner597

Citation de: RedArmyhttp://link.brightcove.com/services/player/bcpid29318049001?bctid=680937756001

:green: toujours un plaisir son anglais a Bebert!!! :lmao:
assez étonnant sachant qu'il a joué pas mal de temps en angleterre

RedArmy

Son premier match a domicile devant son public sera face a ... ARSENAL  :shrug: Ca ne s'invente pas!!!




MikArsha

C'est pas une super nouvelle :(
Fan N°1 d'Arshavin ! Alors attention à ce que vous dîtes :box: ;)
                 
                            13/02/2011: j'ai réalisé mon rêve : j'ai été chez Arsha  :love: :P
                                   Donnez-vous les moyens de réaliser les vôtres !

RedArmy

[large]Pires: \"Indissociable des Gunners\"[/large]

source:
sports.fr




Une semaine après son retour sur les pelouses anglaises, Robert Pires s'apprête à retrouver le club qui a marqué sa carrière: Arsenal. Samedi, lors de la 15e journée de Premier League, le milieu de terrain français sera sans doute titulaire dans les rangs d'Aston Villa, paré à démontrer que ses 37 ans n'ont en rien altéré sa compétitivité. \"Indissociable des Gunners\" selon ses propres mots, il promet néanmoins de ne faire \"aucun cadeau\" à son ancienne équipe.


Robert, vous voilà relancé à Aston Villa après quatre mois de chômage, comment avez-vous vécu cette période ?
Très franchement, cette période, je l'ai très bien vécue pour la simple et bonne raison que c'était mon choix. Quand j'ai quitté Villarreal, j'ai eu pas mal d'offres, notamment d'un club de Sydney, mais aussi de Thaïlande, de Chine, donc j'aurai pu rebondir plus tôt. Philadelphie m'a aussi proposé un contrat, que j'ai refusé, non pas pour la ville comme j'ai pu l'entendre, mais pour le projet. Leicester City et Sven-Göran Eriksson sont aussi venus me voir, Crawley Town, ... J'avais des propositions mais, dans ma tête, j'avais envie de signer dans un grand championnat.

C'est désormais chose faite puisque vous voilà de retour en Premier League avec les Villans...

Oui, et ça, je sais que je le dois à deux hommes: Arsène Wenger et Gérard Houllier. Arsène m'a ouvert ses portes pendant plus de deux mois pour que je puisse m'entraîner avec son équipe afin que je reste au contact du plus haut niveau et que je garde la condition. Je savais que l'Angleterre, au regard de mon âge, était peut-être le seul pays à pouvoir me proposer un challenge intéressant. Ailleurs en Europe, un milieu de terrain de 37 ans, on ne lui fait pas confiance... Et puis en Premier League, j'ai laissé de bons souvenirs avec mes six années passées à Arsenal. Et c'est là que Gérard Houllier intervient. Il m'a proposé un défi très attractif et je l'en remercie encore.

Quelles sont les raisons qui ont poussé Gérard Houllier à vous recruter ?
Il y a plusieurs facteurs. Mon expérience pour commencer, afin que j'encadre un peu les nombreux jeunes joueurs que nous avons, et j'aurai aussi un rôle important au niveau de la passe. Nous avons des flèches en attaque, notamment Young, Agbonlahor ou Downing, et ma qualité de passe devra faire la différence pour alimenter ces joueurs. Et ça, ça me plaît. Je vais me régaler à leur donner des ballons pour les voir partir à pleine vitesse. Maintenant, il ne faut pas perdre de vue que je ne vais pas jouer tous les matches, il faudra aussi que je gagne ma place. Et je ne viens pas ici pour envoyer quelqu'un sur le banc. J'aurai aussi un rôle à jouer au niveau de l'approche des matches, de la gestion d'une saison chez les professionnels. Je me rapproche un peu de l'encadrement en fait, mais je reste joueur avant tout. A Villarreal, l'entraîneur m'avait proposé d'intégrer le staff au terme de mon contrat précédent mais j'avais refusé...

En Angleterre, on vous parle encore de vos années Arsenal ?

Oui, beaucoup. Je me rends compte que j'ai laissé de bons souvenirs là-bas et j'ai la sensation que ma cote de popularité reste intacte en Angleterre. Quand je m'entraînais avec les Gunners, les supporters venaient me voir, ou les gens m'abordaient dans la rue pour me féliciter car ils croyaient que j'allais de nouveau signer, faire comme Sol Campbell il y a peu. Mais, avec Arsène Wenger, tout était clair dès le départ. De toute façon, je n'aurai pas eu ma place à Arsenal tant le club a un effectif fourni en qualité et en quantité au milieu de terrain.



Et justement, vous retrouvez Arsenal dès samedi à Villa Park...

Oui, ça va être un gros match. Mais je ne me fais pas une montagne de cette rencontre. Tout le monde me parle de mes retrouvailles avec les Gunners mais il faut être sûr d'une chose, je ne ferai aucun cadeau samedi après-midi. A priori, je devrais débuter la rencontre en tant que titulaire et, si je joue pendant 90 minutes, je me donnerai à fond pour Villa. Gérard Houllier le sait, sinon il ne m'aurait pas accordé sa confiance.

Quelle sera, selon vous, la clef du match pour freiner les Gunners ?
Arsenal ne va pas bien en ce moment. La défaite en Ligue des champions, mais surtout le revers contre Tottenham la semaine passée ont laissé des traces. Je pense qu'il manque à cette équipe des joueurs d'expérience, ceux-là même qui leur auraient permis de ne pas perdre contre le Hotspur. Ce match là, ils ne doivent jamais le laisser filer en menant de deux buts au repos. Contrairement à ce que j'ai pu lire ou entendre, ce n'était pas de l'arrogance, mais plus de la suffisance. Ils ont cru que le match était gagné, alors qu'en Premier League, et surtout dans un derby, même quand on mène de trois ou quatre buts, on sait que rien n'est jamais joué. Donc, de notre côté, il faudra qu'on les bloque au milieu de terrain. Denilson, Song et Wilshere devraient jouer dans l'axe, il faudra qu'on soit particulièrement agressif sur eux afin de bloquer tous leurs mouvements offensifs.

Craignez-vous une réaction d'orgueil des Gunners ?

Non, pas particulièrement. Non pas qu'Arsenal soit une mauvaise équipe, loin de là, mais tout simplement parce que ces clubs là sont, de toute façon, obligés de gagner tous leurs matches. Alors qu'ils aient perdu ou gagné le précédent ne change rien pour l'adversaire. On sait qu'on aura face à nous un collectif bien rodé et dangereux.

N'avez-vous pas la sensation de rester, malgré votre signature à Aston Villa, un joueur d'Arsenal pour le grand public ?
De toute façon, mon histoire est indissociable des Gunners. Et, quand je me penche sur ma carrière, je ne peux pas le nier. J'ai passé six ans là-bas avec quelques titres à la clef. Quand j'ai signé à Villarreal, j'ai connu l'un de mes meilleurs souvenirs de joueur de football quand je suis revenu jouer en Ligue des champions à l'Emirates Stadium en 2009-2010. Les supporters avaient chanté mon nom avant, pendant et après le match. Je me retrouve au chômage et je file m'entraîner à Arsenal. Pour mon premier match titulaire avec Aston Villa, je rencontre Arsenal... Et le 14 mai prochain, pour la 37e journée de Premier League, on se déplace sur le terrain d'Arsenal pour ce qui sera peut-être l'un de mes derniers matches ou mon dernier match. Si ce ne sont pas des signes...

Skoxy

merci RedA,j'ai également entendu un extrait de son interview ce matin sur Infosport,il disait que les jeunes c'est bien mais faut quelques joueurs d'expérience pour les encadrer

groganga

Merci pour l'interview RedA :up:
Also known as Mr.16.5...
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49 ¤ Lehmann - Lauren, Campbell, Touré, Cole - Ljungberg, Vieira, Gilberto, Pires - Bergkamp, Henry ¤ 49

neim1218

Avec Aston Villa, Robert Pires va retrouver samedi (13h45) Arsenal, le club qui a fait sa gloire. Un moment forcément intense pour le milieu français. Mais pour les supporters des Gunners aussi. Auprès d'eux, Pires garde une cote énorme. Il n'a pas été remplacé. Ni sportivement ni humainement.

En Angleterre, ce sera un des évènements du week-end. Peut-être pas tout à fait au plan sportif. Aston Villa ne navigue pas assez haut dans le classement cette saison pour que la venue d'Arsenal dans les Highlands constituent un rendez-vous incontournable. Mais d'un strict point de vue sentimental, les retrouvailles entre Robert Pires et le club du Nord de Londres, lors du match d'ouverture de la 15e journée, vont forcément focaliser l'attention.

Même si l'émotion aurait sans doute été plus forte si la rencontre avait eu lieu à l'Emirates Stadium, Pires, désormais à Aston Villa, va vivre un moment particulier. Car Arsenal, c'est la grande histoire de sa vie de footballeur. Même si ce sera une première dans une confrontation anglo-anglaise, ce n'est pas la première fois que l'ancien milieu de terrain de l'équipe de France affronte les Gunners depuis son départ. En avril 2009, avec Villarreal, il était revenu à Londres pour affronter son ancien club lors d'un quart de finale de Ligue des champions. A cette occasion, il avait pu mesurer à quel point Arsenal lui manquait. \"C'était peut-être le moment le plus fort de toute ma carrière, raconte-t-il. Nous avions perdu, bien sûr, mais le public avait été fantastique. Il scandait mon nom, avant le match, pendant le match, après le match. Il y a un moment où je me souviens m'être dit 'ah, si seulement j'étais resté'.\"

Tony Mabert : \"Pires n'a pas de successeur\"


Une remarque intéressante, car ils sont beaucoup à se dire, à Arsenal, \"ah si seulement il n'était pas parti.\" Le départ de Pires, ce fut un deal perdant-perdant. L'ancien Messin a quitté le club londonien en 2006. Il ne se sentait plus tout à fait désiré par Arsène Wenger, qui l'avait sacrifié au bout de 12 minutes en finale de la Ligue des champions 2006, après l'expulsion de Jens Lehman. \"Il ne méritait pas cette sortie, juge l'ancien Gunner Paul Merson. Pour tout ce qu'il avait apporté au club, il aurait été normal de lui réserver un autre sort. Mais dans le feu de l'action, Arsène Wenger ne pouvait penser à tout ça. Il avait une situation d'urgence à gérer, et il a choisi de sortir Robert.\" Pires en a longtemps voulu à Wenger. Aujourd'hui, il a tourné la page. Le mois dernier, l'ancienne idole d'Higbury est d'ailleurs venue s'entraîner quelques jours avec son ancienne équipe. Avec Wenger, ils étaient visiblement heureux de se revoir. Comme au bon vieux temps.

Reste que, pendant quatre ans, après son départ, il a continué à jouer à un excellent niveau en Espagne. Preuve que les Canonniers l'ont sans doute laissé filer trop tôt, même s'il avait 32 ans passés. \"D'ailleurs il n'a jamais vraiment été remplacé sur le côté gauche, nous rappelle Tony Mabert, notre confrère du site eurosport.co.uk. Il y a du talent, mais personne n'a encore eu son impact. Arshavin joue trop vers l'avant. C'est un attaquant qui débute sur la gauche, mais n'y reste pas vraiment. Nasri, lui, est attiré par l'axe. Pires n'a pas de successeur. Ce n'est pas pour rien qu'Arsenal n'a plus gagné le moindre titre depuis son départ. Sa complicité avec Thierry Henry a été une des clés du succès d'Arsenal au début des années 2000. Il est toujours considéré comme un des meilleurs joueurs de l'histoire de la Premier League (instaurée en 1992).\"

S'il est toujours aussi populaire du côté de l'Emirates Stadium, c'est donc aussi, d'une certaine manière, parce qu'il existe une nostalgie de cette période où rien ne résistait aux hommes d'Arsène Wenger. On les appelait les \"Invincibles\". En regrettant Pires, les supporters pleurent aussi cette époque pas si lointaine où ils trustaient les titres. Mais ce n'est pas qu'une affaire sportive. Si le joueur leur manque, l'homme aussi. \"C'était avant tout un mec bien, et ça a contribué à le rendre encore plus populaire auprès des fans. Aujourd'hui, tout le monde est heureux, même à Arsenal, de le voir revenir pour finir sa carrière en Angleterre\", reprend Tony Mabert. Pas étonnant que lors d'un vote organisé voilà trois ans, il soit apparu en 6e position dans le classement des plus grands joueurs de l'histoire du club, juste derrière Patrick Vieira (5e), mais devant des figures comme David Seaman, Liam Brady, Pat Jennings, Charlie George ou Marc Overmars. Samedi, qu'il soit titulaire ou pas, il sera le seul joueur applaudi par les supporters des deux camps. Peut-être même les visiteurs seront-ils plus chaleureux encore. Parce que même s'il est aujourd'hui à Villa, Pires reste un Gunner. Pour toujours.

source eurosport
Mes 2 passions Arsenal <3 et la musique type rock (nirvana Muse radiohead)

darren

Houllier propose à Pires de partir

[img align=c]http://static.foot01.com/img/images/560x450/art/2011/Jan/16/houllier-propose-a-pires-de-partir_65671_14209.jpg[/img]
Maintenant que Jean II Makoun est arrivé à Aston Villa, Robert Pires pourrait-il en partir ? La première recrue de Gérard Houllier a rapidement déchanté après deux premiers matchs manqués, et surtout des déclarations sur l'ambiance tendue dans le vestiaire du club de Birmingham. L'ancien joueur de Villarreal s'est expliqué récemment avec son manager français, mais visiblement, la pilule n'est pas passée pour l'ancien DTN.

« Oui, nous avons discuté de cela, et il m'a assuré à plusieurs reprises que les propos repris étaient hors contexte. Mais il a quand même dit des choses qui vont à l'encontre du club. Cela ne va pas changer ma vie, ni celle d'Aston Villa, mais s'il n'est pas content, qu'il s'en aille », a lancé Gérard Houllier, qui sait que cette déclaration risque de faire mauvais genre pour la première recrue qu'il souhaitait faire venir à Villa Park.
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Perso, je trouve qu'il ouvre trop sa gueule, il n'a pas la classe de Titi sur ce plan là.
« on réussit dans la vie en faisant bien ce qu'on sait faire. On a pas toutes les qualités, mais il faut exprimer celles qu'on a  »
« Personne n'a assez de talent pour se contenter de vivre avec ce seul talent. Sans travail, vous n'allez nulle part. »
ARSENE WENGER

gunner597

je pense qu'il 'attendait a autres choses puis apparemment Houillier lui a fait des promesses qu'il n'a pas tenu

Vince

Faut dire qu'Aston Villa c'est un gros merdier qui mérite reconstruction (en s'appuyant sur son Academy surement).

gunner597

ils ont de bons jeunes joueurs (Albrighton,Bannan, Clark) puis des joueurs confirmés Downing,Young,Petrov..je ne me fais pas de soucis

Vince


gunner007

Robert Pires, LE dernier grand Gunner avec Dennis... :love::love::love:

Bouligoal

Citation de: Vincesouvenir, souvenir ...
La belle époque surtout ... :thanx:
229 !!!!!!!!!!!!!!!!!!

Taz

Pirès : «En faire une vingtième»

Arrivé en fin de contrat à Aston Villa, Robert Pirès, 37 ans, ne veut pas s'arrêter sur «un échec». «Une dernière saison avec Thierry Henry à New York, je ne dis pas non».

«J'arrive en fin de carrière. Je viens de terminer ma dix-neuvième saison. L'objectif, c'est d'en faire une vingtième pour terminer sur un compte rond.» A 37 ans, Robert Pirès aimerait bien prolonger le plaisir une dernière année, alors que son contrat de huit mois avec Aston Villa arrive à échéance à la fin du mois, afin, a-t-il dit mardi, «de ne pas terminer sur un échec».

Ses huit mois dans le club anglais ont un goût amer pour le champion du monde 1998 et d'Europe 2000. Il était venu pour jouer sous les ordres de Gérard Houllier. Malheureusement, le malaise dont a été victime le manager français a entraîné une diminution singulière de son temps de jeu. «Je pensais que ça allait mieux se passer à Villa, a-t-il concédé. Si je fais le compte, je n'ai été titulaire qu'à trois reprises et encore, heureusement qu'il y avait la Cup. J'ai d'ailleurs pensé à arrêter ma carrière après le match avec Aston Villa à l'Emirates Stadium il y a quinze jours (2-1). J'aurai aimé jouer les dix dernières minutes, un quart d'heure, devant mon ancien public. Ca n'a pas été le cas...»

La déception passée, Robert Pirès a décidé de s'accrocher une dernière saison. Il se sent «bien physiquement» et a encore les ressources nécessaires pour «jouer davantage» qu'à Villa. S'il n'a «aucune piste pour l'instant», l'ancien Gunner a reconnu que l'idée de terminer sa carrière aux New York Red Bulls avec Thierry Henry lui faisait envie : «Une dernière saison avec Thierry, je ne dis pas non, c'est sûr. Mais ça ne dépend pas de moi...» Il ne ferme pas non plus la porte à un club français, à condition qu'il soit «ambitieux et joue une coupe d'Europe la saison prochaine». Mais Pirès ne va pas s'accrocher à tout prix. «Pour l'instant, je me prends un mois de vacances pour profiter de ma famille et préparer la naissance de mon fils [prévue dans deux mois, ndrl]. Si je n'ai rien à la fin du mois d'août, c'est simple : je m'arrêterais. Je suis prêt.»

Consultant ou adjoint

Et une éventuelle reconversion ? «Je n'ai pas encore d'idée. Ca me plairait d'être consultant ou entraîneur adjoint. Je ne me vois pas dans la peau d'un numéro un, quand je vois le stress que ça engendre. En plus, vu la difficulté des rapports entre un entraîneur et ses joueurs, ce serait difficile pour moi de basculer de l'autre côté. Je passerai donc mes diplômes si je ne trouve pas de club...» - Alexis DANJON

Robert Pirès sort une autobiographie ce mardi, «Les canards ne savent pas taclé», aux éditions Prolongations.


Pirès et l'affaire des quotas

Robert Pirès ne s'était pas encore exprimé sur l'affaire des quotas, contrairement à d'autres membres de la génération 1998. «Laurent Blanc a été maladroit, a-t-il estimé mardi. Ce mot là ne doit jamais être prononcé dans le sport français. Si les joueurs veulent défendre les couleurs d'un autre pays, ça ne me pose aucun problème. A un moment donné, j'aurai pu faire ce choix, en raison de mes origines portugaises. J'ai quand même bien fait de ne pas changer, non ?»

source :
http://www.lequipe.fr/Football/breves2011/20110524_134245_pires-en-faire-une-vingtieme.html
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Vince

A mon avis il devrait aller aux states. Physiquement il ne peux plus jouer dans un rythme de championnat européen.

Taz

ouai je pense qu'il serait bien avec TH la bas
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The Iceman


Taz

si c est vrai qu il à fait ce genre de déclaration c est vraiment moche ! :down:
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gunner597

en meme temps j'ai l'impression que l'ami robert veut encore amasser un peu de blé quand tu vois qu'il veut un club de L1 avec la coup d'europe il croit qu'il serait titulaire ?? je pense qu'il devrait aller aux USA ou au Quatar mais a mon avis l'europe c'est fini pour lui

Taz

c est pas pour ça que son ancien coéquipier doit le casser comme ça dans les médias
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Vince

Ils sont potes tout les deux, c'est plus du chambrage qu'un reproche. Enfin c'est ce que j'ai compris. Voilà une autre partie de l'interview:
\"Par rapport à la façon dont c'est sorti, je me suis dit: 'wow'. Nous en avons parlé, mais pas de cette manière\"

Taz

Pirès : «Pas de souci avec Titi»

«Je ne sais pas pourquoi il a dit ça. Robert aime parler sur et en dehors des terrains. Peut-être parce qu'Aston Villa ne lui a pas proposé de prolongation ? Je ne lui ai pas dit de venir à New York. Je lui ai dit : \"Pourquoi as-tu dit ça ?\" Il a 37 ans. Il devrait être un peu plus mature», a déclaré mardi Thierry Henry dans le Daily Star. Des propos qui ne sont pas tombés dans l'oreille d'un sourd puisque Robert Pirès, car il s'agit bien de lui, a donné sa version des faits, quelques heures plus tard. «C'est vrait qu'on s'est parlés au téléphone. J'avais dit : ''Pourquoi pas, ça pourrait être intéressant''. Mais je ne lui ai jamais demandé d'aller voir le président, a-t-il assuré sur L'Equipe TV. Maintenant, sa réponse est un peu exagérée. Titi, je le connais. Je n'ai pas de souci avec lui. Ça ne me fait pas mal».
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