Jermaine Pennant

[Vince]

La descente aux enfers continue pour Pennant. Le joueur de Stoke qui n'a été titulaire que 2 fois en 2012 a été sanctionné par son Club pour des problèmes de comportement.
Le plus sérieux été révélé dans le DailyMail. La veille du match contre Everton en début de saison, il s'était échappé de la mise au vert pour aller en boite de nuit, il n'est rentré que le lendemain matin du match en état d'ébriété.

[gunner4life]

quel gâchis, il est trop con

[Vince]

Pas aidé non plus par son entourage malheureusement.

[Vince]

Il s'arrange pas

http://www.dailymail.co.uk/sport/football/article-2137220/Jermaine-Pennant-questioned-police-car-crash.html

Il a eu un accident de voiture hier soir tard (ou tôt ce matin). Il est actuellement à l'hopital pour des blessures qui ne sont pas trop grave. Mais il sera entendu par la police pour conduite en état d'ébriété.

[gunner007]

Quel abruti ! Il ferait bien de changer de vie et d'attitude, lui qui a la chance de faire un tel métier...

[hrithik]

Pennant est pas le fils d'un toxico? il me semble avoir lu un article sur lui il y a quelques temps, qui parlait des dérives et de la déchéance de son père.

[Vince]

Ouai son père était vendeur de crack je crois, j'avais vu l'article avec les photos.
http://noticias-chismes.blogspot.fr/2008/01/footballers-dad-is-drugpeddler.html

[fabrice17]

peut etre son passage a arsenal

[gunners_dz]

L'implacable déchéance de Jermaine Pennant

Il était l'un des joueurs les plus prometteurs de sa génération. Celui pour lequel Arsenal avait, en son temps, battu le record de transfert pour un «apprenti» (3 M€ pour le faire venir de Notts County quand il avait quinze ans). C'était en 1998. En novembre 1999, il devenait le plus jeune joueur de l'histoire des Gunners à fouler une pelouse, contre Middlesbrough, à 16 ans et 319 jours. Il était alors un attaquant racé, une gazelle, un aigle, un projet presque abouti.


Sa mère est décédée d'un cancer quand il avait trois ans et il a du élever ses trois frères et soeurs dans un quartier infesté par la drogue et le crime. Il n'a jamais su lire, ni écrire parce qu'il ratait l'école en permanence.
Mais Jermaine Pennant n'est pas né (à Nottingham) du bon coté de la chance. Sa mère est décédée d'un cancer quand il avait trois ans et il a du élever ses trois frères et sœurs dans un quartier infesté par la drogue et le crime. Il n'a jamais su lire, ni écrire parce qu'il ratait l'école en permanence. Et son père a été condamné à cinq ans de prison pour trafic de drogue. Le football fut son échappatoire, qui ressembla davantage à une fuite inexorable qu'à la poursuite d'un véritable destin. Jermaine Pennant marqua trois buts lors de sa première titularisation en Premier League, contre Southampton. Mais celle-ci intervint trois ans et demi après ses débuts précités. Arsène Wenger avait alors déjà perdu patience, lassé de ses retards à l'entraînement et de ses jérémiades. De ses passages au commissariat également, pour excès de vitesse, conduite en état d'ivresse ou pour avoir crashé sa voiture contre un pylône électrique. Lors de ce dernier forfait, il s'était présenté aux flics comme étant... Ashley Cole.
Quand Wigan, relégué en League One, a proposé de lui renouveler son contrat cet été, il a refusé. Pas assez bien payé.


Prêté à Birmingham, où il jouait avec un bracelet électronique, JP a continué à multiplier les âneries, genre tapage nocturne ou harassement. En 2011, il est arrêté à nouveau pour avoir laissé sa voiture sur le parking de la gare de Saragosse pendant... cinq mois. L'année suivante, après un nouvel accident de voiture, il est condamné à huit semaines de prison pour conduite sans permis, sans assurance et en état d'ivresse. Son football, évidemment, s'est perdu dans la nature au gré de ses pérégrinations et de ses altercations avec ses entraîneurs : Benitez à Liverpool, Gay à Saragosse, Pulis à Stoke. Il est resté pour l'éternité un international Espoirs (24 sélections), une équipe dont il fut viré pour insubordination. D'échecs en échecs, les offres se sont faites plus rares, comme autant de dernières chances. À Portsmouth, à Wolverhampton, à Wigan la saison passée, ou même en Inde en 2014. Lors des dix dernières années, l'attaquant de tous les rêves a marqué dix buts, au total. Quand Wigan, relégué en League One, a proposé de lui renouveler son contrat cet été, il a refusé. Pas assez bien payé.


À 33 ans, Jermaine Pennant reste une énigme, y compris pour lui-même. Son passé est fait de douleur, son présent d'instabilité et de colère. Son futur, lui, reste à dessiner. La semaine dernière, il a signé avec les Tampines Rovers, un club singapourien. Sa nouvelle dernière chance...


http://www.francefootball.fr/news/L-implacable-decheance-de-jermaine-pennant/625772

[Vince]

Il vient de signer à Bury FC (League One)

http://www.buryfc.co.uk/news/article/2016-17/confirmed-jermaines-a-shaker-3528126.aspx

[17Alexis]

Olalala ça rajeuni pas de lire son nom En y regardant de plus près on se rend compte que biens des espoirs qui pourtant extrêmement prometteurs ont fini par se perdre totalement ou a finalement se battre entre la relégation et le Championship. 

[gunner4life]

une grosse déception celui ci. il me semble qu il a inscrit dans l un des premiers matchs qui ont démarré notre série de invincibilité.....peut être contre Leeds. ...faut que je regarde.
bref ça ne change rien au fait qu il a gâché sa carrière à cause de l alcool

[Vince]

une grosse déception celui ci. il me semble qu il a inscrit dans l un des premiers matchs qui ont démarré notre série de invincibilité.....peut être contre Leeds. ...faut que je regarde.
bref ça ne change rien au fait qu il a gâché sa carrière à cause de l alcool

Leeds était notre dernière défaite il me semble, c'était pas contre Southampton et même un triplé?

Il a surtout eu des problème judiciaire, on se rappelle qu'il jouait au Foot avec un bracelet électronique à la cheville pendant un moment.

[Vince]

Pennant - Sans regrets



"Personne n'est un ange. Je ne connais pas d'ange dans le Football - à part James Milner. Tout le monde fait des erreurs à des moments donnés de sa carrière et de sa vie.

Des coaches et des managers qui ne me connaissent pas auront une certaine image de moi. Mais ce qui m'importe ce sont mes proches. Ils peuvent témoigner. La perception des gens est plus embêtante qu'autre chose, je pense que je pourrais jouer à un plus haut niveau, mais plus le niveau est élevé, plus les dirigeants sont sceptique à cause de mon passé. Mes erreurs ont été révélé au grand publique, mais on apprend, on grandit et on passe à autre chose. J'ai géré tout ça, prouvé que je valais mieux à des gens qui ont appris à me connaitre.

Sans manquer de respect à Bury, je ne pense pas qu'ils soient en position d'être exigeant. Brassy [Chris Brass le manager] veut que j'aide les jeunes joueurs. J'ai l'expérience pour les guider et éviter les pièges. En terme de Football, je peux aider les ailiers à progresser et être efficace. Je pense avoir encore beaucoup d'année devant moi en tant que joueur, Ryan Giggs a joué jusque 40 ans, mais je suis là pour aider les jeunes.

J'aurai aimé qu'un manager puisse me guider mais quand on est jeune, on écoute pas toujours. On se dit 'ouai, peu importe, je sais tout'. Rafa [Benitez] n'était pas un manager proche de ses joueurs, il n'allait pas s'assoir avec vous pour discuter de vos problèmes. J'ai fais quelques erreurs, et je n'avais probablement pas la meilleure attitude. Je pensais juste que mon talent suffirait à faire une carrière. Peut-être que je ferai un meilleur coach, ou un meilleur adjoint, car je peux parler aux jeunes et les aider dans les années à venir.

Je n'ai pas beaucoup de regrets. J'ai eu une bonne période, vécu une belle vie, connu de grands moments que je ne peux pas mentionner ici! Je suis venu à un point où je n'ai plus besoin d'être la star, celui avec le style luxueux. Oui, ma carrière aurait pu être meilleure, mais si quelqu'un m'avait dit au tout début que je jouerai dans les plus grands Clubs de Premier League, que je jouerai une finale de Champion's League [défaite 2-1 contre le Milan AC avec Liverpool, passeur décisif sur le but de Liverpool], j'aurais signé tout de suite. Je n'ai pas de regrets, juste des souvenirs."

Il sera payé £2000 par semaine à Bury, alors qu'il avait une offre d'un Club chinois bien plus onéreuse.


Sinon c'était bien un triplé face à Southampton et cette victoire qui a lancé la série de match invaincu en 2003-04

[Vince]

A l'essai à Hibernian (Ecosse)

[Vince]

Jermaine Pennant raconte sa vie dans son livre. Quelques extraits ont été publiés dans la presse.

"Quand on a une jeunesse difficile, ça affecte le reste de votre vie d'adulte. Je ne le réalisais pas à l'époque. J'ai grandis dans un quartier difficile à Nottingham, Meadows. [...] Je pense que si j'avais eu une autre éducation, avec ma mère et mon père toujours présent, alors j'aurais eu une autre carrière, j'aurais été en équipe d'Angleterre. J'ai fais une bonne carrière, je suis pas malheureux. Mais j'aurais pu faire mieux et je suis le premier à l'admettre.

Même quand j'étais à l'école je savais que mon père vendais de la drogue. J'allais pas en parler, je n'y pensais pas. Mais vers 12 ou 13 ans, je savais ce qui se passait. Je ne me plaignais pas, car ça apportait de l'argent à la famille. Au début, il ne vendait pas à la maison, il allait dans un pub, le Three Bridges, à quelques pas de la maison. [...] Vendre de la drogue là-bas, y voir de la drogue, c'était complètement normal. Et je pense que si il n'y avait pas eu le Football et des amis qui ont fait attention à moi, j'aurais suivit cette voie. Mais à un moment donné il a commencé à vendre la drogue directement de la maison. Plus il gagnait d'argent, plus il était à l'aise, et il est devenu feignant. C'est là que les choses ont commencé à aller mal. Non seulement il vendait de la maison, mais ils se droguait chez nous. Ils fumaient de l'héroïne. Je pouvais le sentir.

Être dans cet environnement pendant l'enfance, on sait à quoi sent quoi. On sait ce que sent le crack, la marijuana. Les drogues sentent un peu comme la cigarette, mais en pire. Parfois quand je faisais venir des amis, ils pouvaient le sentir aussi. C'était décevant, embarrassant. Quand je faisais venir ma petite amie, j'avais honte. Ca mon rongeait. Souvent je voulais exprimer ce que je ressentais à mon père mais je ne savais pas comment.

Un jour, je me levais pour aller à l'école et la maison a été envahit par la police. Il devait être 7h et j'étais encore au lit. J'entend cogner, la porte tombe, la police court en haut et j'ai cru au début qu'ils étaient après moi ! Ils ont pris mon père, j'ai compris ce qui se passait. Beaucoup de gens ont été arrêté ce jour là. C'était une grosse opération. Tout le monde en parlait au Club de Foot, quelqu'un a dit qu'il pourrait prendre 6 ans, et je me rappelle avoir craqué et pleuré. Il était ma seule figure parentale, je n'avais plus ma mère. J'avais une belle mère mais ce n'était pas ma mère. C'était la seule personne que j'avais en exemple. Je sais que c'était pas le meilleur exemple mais c'était ma famille et mon père. Je sais qu'il n'était pas quelqu'un de bien mais il n'avait pas de travail et a fait comme il a pu.

Il n'est pas resté longtemps en prison. Un an et 6 mois. [...] Quand il est sortie il a pris du poids, il a passé tout son temps à la salle de gym. Je pensais que ce serait fini, qu'il reprendrait une vie normale. Je pense qu'il a essayé, mais il s'est remit à vendre. Cette fois c'était pire. Il est devenu addict à l'héroïne. Ca m'a réellement détruit. Je l'ai détesté pour ça. Je me rappelle d'un anniversaire, je crois quand j'avais 14 ans, j'ai reçu des cartes de ma grands mère et d'autres membres de ma famille. Il y avait £40, il me les a pris en me promettant de les rendre. Je sais pour quoi c'était. Je savais que je ne les récupérerait pas. Il était drogué, sans emploi, il ne vendait même plus car il utilisait tout.

Il a été comme ça pendant 10 ans et c'est très long. Puis il a recommencé à vendre, et il a finalement été arrêté et fait 2 ans de prison. Il a vendu à un policier en civil. J'avais environ 20 ans à cette époque. Je commençais à progresser dans ma carrière et je me suis éloigné de lui. Ma grand mère me donnait des nouvelles de lui. Elle me disait qu'il ressemblait à un squelette, j'avais trop honte pour le faire venir au stade. Ca me blessait car j'ai toujours voulu y faire venir mon père. C'était mon idole quand j'étais jeune, il venait à mes matchs.

Quand il est allé en prison j'ai prié pour que ça le change. En sortant, deux de ses amis proches l'ont enfermé dans une maison pendant des semaines, pour le sevrer. Ce n'était pas simple, même en prison ils lui donnaient des drogues pour remplacer l'héroïne. Ce n'était pas quelqu'un de faible mais une fois qu'on est addict, c'est très difficile. Cependant, il a fait beaucoup d'effort, je savais qu'il y arriverai pour le bien de sa famille. On va bien maintenant. Il est venu à mon mariage, c'était émouvant. Il a réalisé ses erreurs, s'en est excusé - et pour ne pas avoir été présent pour une bonne partie de ma vie."

[Bouligoal]

Émouvant comme récit quand même...

[gunner597]

J'étais pas au courant de son enfance difficile .. dans un autre article il parle des fêtes qu'il faisait avec A.Cole

[Vince]

Vous voulez que je traduise ? il raconte ses plans à 3 avec Cole.

[Nono]

Ouais, ça peut être marrant !

[Vince]

A travers les années, je me suis retrouvé dans diverses histoires. Sans aucun doute, ça a affecté ma carrière négativement. Si j'avais un conseil à donner aux jeunes joueurs, évitez les femmes. Quand je suis sortie pour la première fois à Londres, j'avais 17 ans, j'ai pris gout à ça. Je commençais à être reconnu car j'étais à Arsenal et j'allais en boite. Soudainement j'intéressais beaucoup de filles. Ca a commencé comme ça. On veut y aller chaque semaine, coucher avec des filles différentes, faire dieu sait quoi jusqu'au petit matin.

J'ai toujours été plus intéressé par les femmes que par l'alcool. Je n'aime pas être bourré, je déteste la gueule de bois, et avoir la tête dans le cul. Pourquoi vouloir être comme ça ? C'est fantastique de sortir avec ses potes, boire quelques bières et se marrer. Mais j'étais plus intéressé par les filles. Avec le courage que nous donne l'alcool, on se sent les rois du monde et c'est un challenge de draguer une fille. Ensuite quand on y arrive, on veut une autre, puis une autre. On se bourre la gueule, on parle à toutes les filles, on en drague une, on la ramène chez soit, et le lendemain à l'entrainement on raconte tout aux potes. Ils vous posent des questions et vous leur dites à quel point elle était chaude et qu'elle adorait ça.

Plus vous êtes dans la lumière, et plus vous jouez en Premier League, plus c'est simple, et plus vos exigences sont élevées aussi. En gros, avec les potes on va en boites, on se met à une table avec quelques bouteilles de bière. Un troupeau de filles commence à arriver. Au début elles n'interagissent pas avec vous, mais vous êtes conscient qu'elles sont là. Puis un autre groupe arrive. Et enfin tout d'un coup, une dizaine de filles sont à votre table. Plus vous buvez, plus la bière prend le dessus et alors on leur propose un verre. C'est exactement ce qu'elles cherchent. Pouvoir boire sans ouvrir leur sac à main, elles préfèrent s'assoir avec les Footballeurs et boire gratuitement toute la soirée et s'amuser. Elles savent comment vous êtes et elles se disent que ce serait sympa de se taper un Footballeur.

Ce qu'elles ne savent pas encore, c'est que vous allez les ramenez chez vous ou à l'hotel, faire l'amour, faire toutes sortes de choses, et probablement plus jamais leur adresser la parole. On s'en fout, la réalité c'est qu'on veut juste baiser. On appelait ça Monopoly. On avait nos propriétés, avec des niveaux différents d'exigence. Il y avait Mayfair (le top), et Old Kent Road (le plus bas niveau - personne n'en veut). Donc on jugeait chaque fille comme une propriété dans un jeu de Monopoly. Si elle était bonne et connue, c'était une grosse maison, probablement Bond Street ou Mayfair. Et puis il y a ces filles avec qui beaucoup de gars ont couché et ce serait Old Kent Road. Quand je couchais avec une fille puis qu'un pote couchais avec elle, ils devaient me payer un "loyer" : si c'était Mayfair, c'était £100, pour Old Kent Road, £14.

La plus part des gars pratiquaient ce jeu. On a tous honte aujourd'hui, mais il y avait une telle attention de la part des filles que ça nous est monté à la tête. C'était un jeu qui a duré des années - je suppose que l'on a trop d'argent et trop d'opportunités avec les femmes. Le nombre de fois où Ashley Cole et moi on a fait des plans à 3 ! Il vivait à Canary Warf et j'ai oublié le nom de la fille, mais on la ramenait et elle était motivé pour ça. On se faisait des High Five pendant l'acte. Puis on se faisait une pause pour boire le thé, et on recommençait. 

Je suis sortie avec le top modèle Amii Grove. On a été fiancé, même si elle est maintenant mariée à Chris Herd qui jouait à Aston Villa. Quand on était ensemble, elle m'a pris en train de la tromper.  Elle disait "t'es toujours en train de me tromper. Si tu veux prouver que t'es sérieux, demande moi en mariage." Je lui demande si c'est un ultimatum, elle me répond "oui". Je me dis que c'est juste des fiançailles, pas un mariage. Donc dans mon salon je la demande en mariage. Ca l'a rendu heureuse qu'on soit ensemble à nouveau. Je lui offre une belle bague, puis elle m'a pris à nouveau en train de la tromper et c'était le clou sur le cercueil. Elle a mis la bague en vente sur Ebay.

Il y a une fille que j'ai payé £16000 pour un coup d'un soir. Elle m'appelle et me dit qu'elle est enceinte et qu'elle veut garder l'enfant. Je lui répond "excuse moi, je ne sais même pas si t'es vraiment enceinte. Je ne connais même pas ton nom de famille." J'étais scandalisé, je n'avais aucune idée si elle mentait ou pas, mais à la fin je dois la payer £16000, elle part en vacances et quand elle revient elle décide de ne pas garder l'enfant. J'ai entendu que ça arrivait souvent. Vous les payez, vous devez gérer toutes les conséquences. J'en ai parlé à personne, pas même à mon agent ou mes amis proches. C'est clair que pour certaines filles j'étais un pigeon.

[Nono]

Les High five

[Bouligoal]

Le genre d'anecdotes qu'on adore lire ! Il n'en déballe pas d'autres des comme ça ?