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Pub Nike - Fabregas

Démarré par Vince, 15-10-2009, 15:35:38

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Vince



[small]Il a une grosse chatte dis-donc ^^[/small]

DiosBergkamp

Ce controle de Bendtner :love:

:P

BYRON31

J'ADOOOOORRRREEEEEE!!!!!:love::love::love::love:

Skoxy

j'aime bien quand il dit \"Relax\" quand il voit Denilson et Diaby,ça montre qu'il doit être énervé quand il joue à côté de ses joueurs :lmao::lmao:

verokiss14

On dirait qu'ils sont inspirés de l'inspecteur gadget! Avec son chat on dirait que fabregas est le docteur Gang! :lol:
"I'm going to make this the greatest club in the World"- Herbert Chapman 1925-
"A dream you dream alone is only a dream. A dream you dream together is reality" - John Lennon-

Gunnerski

Ouais c'est ça vero ! :lol:

Billy_7

Fab est le Docteur Gang!!!! c'est pas possible!
Avertissez l'oncle Gadget!! :board:
-- In Arsène We Trust --

«L'essentiel dans le foot ce n'est pas d'avoir les 11 meilleurs mais le meilleur 11»

verokiss14

Citation de: Billy_7Fab est le Docteur Gang!!!! c'est pas possible!
Avertissez l'oncle Gadget!! :board:
Non il est pas assez doué... :lol:
Vaut mieux avertir sa nièce et son chien. :P

"I'm going to make this the greatest club in the World"- Herbert Chapman 1925-
"A dream you dream alone is only a dream. A dream you dream together is reality" - John Lennon-

Bouligoal

Citation de: verokiss14On dirait qu'ils sont inspirés de l'inspecteur gadget! Avec son chat on dirait que fabregas est le docteur Gang! :lol:
Ah mais c'est pas \"on dirait\" c'est confirmé même ! :D
229 !!!!!!!!!!!!!!!!!!

gunner4life

ce ne serait pas plus tôt James bond et le Docteur No ??? parce que inspectuer gadget franchement ??!!!

gunner007

Mais bien sûr : n'oubliez pas que Cesc évolue en Angletere, pays de 007, une véritable institution là-bas, mondialement connu ! Alors que l'INSPECTEUR GADGET est un vieux dessin animé français...

verokiss14

C'est vrai que le l'univers de James Bond ça fait plus classe que celui de l'oncle gadget. :green:
"I'm going to make this the greatest club in the World"- Herbert Chapman 1925-
"A dream you dream alone is only a dream. A dream you dream together is reality" - John Lennon-

hikari11

après Indiana Jones, Cesc devient 007. la classe non? :cool:
\"Clear eyes, full hearts, can't lose\"

Vince

Ne lancez surtout pas G007 sur le sujet de James Bond, bande de malheureux!  :D
[small]ça et bienvenu chez les ch'tis[/small]

hikari11

Citation de: VinceNe lancez surtout pas G007 sur le sujet de James Bond, bande de malheureux!  :D
[small]ça et bienvenu chez les ch'tis[/small]
:lmao::lmao::lmao::lmao::lmao::lmao::lmao::lmao::lmao:
\"Clear eyes, full hearts, can't lose\"

verokiss14

Mais si!! Alors G007 moi qui est jamais vu un épisode de l'agent 007 (véridique) raconte moi tout! :lol:
"I'm going to make this the greatest club in the World"- Herbert Chapman 1925-
"A dream you dream alone is only a dream. A dream you dream together is reality" - John Lennon-

hikari11

Citation de: verokiss14Mais si!! Alors G007 moi qui est jamais vu un épisode de l'agent 007 (véridique) raconte moi tout! :lol:
alors Véro, quand on se voit il faudra regarder la saga Star Wars, Indiana Jones et James Bond!
il faudra prévoir le stock de pop-corn! :lmao::lmao::lmao:
\"Clear eyes, full hearts, can't lose\"

we are the Arsenal !

Citation de: verokiss14Mais si!! Alors G007 moi qui est jamais vu un épisode de l'agent 007 (véridique) raconte moi tout! :lol:
Non non!! vaut mieux pas qu'il te raconte tout, tu risques de vite le regretter :lol:

gunner007

Citation de: verokiss14Mais si!! Alors G007 moi qui est jamais vu un épisode de l'agent 007 (véridique) raconte moi tout! :lol:
QUOOOOIIII ??? Oh mais chère petite Gunneuse il va falloir que je t'éduque en 'jamesbonderie' ! C'est partiiii :

James Bond, également connu par son matricule 007, est un personnage de fiction créé en 1953 par l'écrivain et ancien espion britannique Ian Fleming dans le roman Espions, faites vos jeux (Casino Royale).
De 1953 à sa mort en 1964, Ian Fleming publiera douze romans et neuf nouvelles regroupées en deux recueils (dont un posthume) avec le personnage de James Bond. Ses romans ont été d'immenses succès internationaux mais ce sont les très nombreuses et régulières adaptations cinématographiques (plus de vingt entre 1962 et 2008) qui ont fait de James Bond, espion des services secrets britanniques et grand séducteur, un authentique mythe contemporain.
Depuis 1962, James Bond a fait l'objet de nombreuses adaptations cinématographiques et c'est la longue série de films d'EON Productions qui a vraiment créé le mythe de James Bond, incarné par des acteurs successifs dont le premier a été Sean Connery :respect::respect::respect: et de nos jours l'excellent Daniel Craig :up::up::up:. La production de ces films (22 en 2009) qui se poursuit encore constitue l'une des plus longues sagas cinématographiques. Quelques productions indépendantes (2 : CASINO ROYALE avec David Niven dans le rôle titre & JAMAIS PLUS JAMAIS avec le vieillissant mais toujours excellent Sean Connery) mais officielles mettant en scène James Bond ont été aussi tournées.
Après la mort de Fleming en 1964, les aventures de Bond ont été successivement écrites par Kingsley Amis (sous le nom de Robert Markham), John Gardner et Raymond Benson. Par ailleurs, John Pearson a écrit une biographie imaginaire de James Bond et, comme John Gardner et Raymond Benson, Christopher Wood a rédigé les novélisations de ses propres scénarios de films de James Bond. D'autres romans avec le héros de Ian Fleming continuent aussi à paraître avec l'accord de ses héritiers : ainsi, depuis 2005, Charlie Higson rédige une série de romans sur la jeunesse de James Bond et Sebastian Faulks a publié en mai 2008 un nouveau James Bond : Le Diable l'emporte (très bon roman d'espionnage et roman de 007).
L'agent secret a également été décliné en bande dessinée, en jeu vidéo, en jeu de rôle et en jouets...
Son âge se situe approximativement au niveau de la quarantaine. Beaucoup de biographes de Ian Fleming s'accordent à dire que celui-ci n'avait jamais pensé écrire autant d'aventures de James Bond et qu'il a dû « bricoler » la vie de Bond et changer les dates pour s'assurer qu'il possédait l'âge approprié pour le service. Les acteurs qui ont incarné Bond à l'écran avaient des âges variés : George Lazenby n'avait que 29 ans dans Au service secret de Sa Majesté, tandis que Roger Moore avait 57 ans dans Dangereusement vôtre :lol:, son dernier James Bond.
Dans sa biographie fictive sur l'agent secret, John Pearson donne à Bond la date de naissance du 11 novembre 1920, mais Fleming n'a jamais laissé entendre cela dans ses livres. Par contre, le roman On ne vit que deux fois fournit deux indices indiquant que l'année de naissance serait 1924. Dans l'histoire, pensant que celui-ci est mort, M écrit sa nécrologie où il indique que Bond a quitté l'école à 17 ans pour rejoindre le Ministère de la Défense en 1941 en se donnant 19 ans. Si Bond avait 17 ans en 1941, alors il serait né en 1924. De plus, Tiger Tanaka, le chef des services secrets japonais, dit que Bond est né l'année du Rat ce qui soutient l'année 1924. Cependant, dans Moonraker, Fleming écrit que l'âge de Bond est de 37 ans, ce qui signifierait probablement qu'il est né en 1918, lui en donnant 34 dans Casino Royale.
Plus complexe, John Griswold dans son livre autorisé Ian Fleming's James Bond: Annotations and Chronologies lui donne la date de naissance du 11 novembre 1921. Griswold note que l'entrée de Bond au Ministère de la Défense est à l'origine datée dans le manuscrit de Fleming de 1939 et plus tard déplacée en 1941. Griswold s'est un moment disputé pour que Bond ait rejoint l'Amirauté en 1939 (la même année que pour Fleming) et que 1941 soit l'année repère de son recrutement dans une organisation plus tard rattachée au Ministère de la Défense par Fleming. Griswold pense que de nombreux détails dans la chronologie de Bond prennent plus de sens avec l'année originale de 1939. Par exemple, ses parents étant morts quand il avait 11 ans, Bond avait donc 11 ans du premier janvier au 10 novembre 1933 si l'on admet qu'il est né en 1921. Dans Casino Royale, 1933 est mentionnée comme l'année où Bond a « acheté » sa première Bentley. Puisque toutes les années de naissance envisagées font que Bond était trop jeune pour acheter sa Bentley, un scénario plus probable serait qu'il en aurait hérité au décès de son père.
Tout comme son année de naissance, son lieu de naissance est aussi source de débat. Selon John Pearson, Bond est né à Wattenscheid, une petite ville près d'Essen, en Allemagne. Charlie Higson, dans Opération Silverfin, déclare que Bond est né en Suisse. James Bond est le fils d'un Écossais, Sir Andrew Bond of Glencoe, et de Monique Delacroix, une Suissesse du canton de Vaud. Leurs nationalités sont établies dans Au service secret de Sa Majesté. Fleming a accentué le côté écossais de Bond après avoir apprécié le portrait à l'écran de James Bond par l'acteur écossais Sean Connery :up::up::up:, tandis que le nom de la mère de Bond s'inspire d'une fiancée suisse de Fleming. Une aventure prévue, mais jamais écrite, de James Bond aurait présenté la mère de Bond comme Écossaise. Selon l'héraldiste Griffon Or, du Collège of Arms, dans Au service secret de Sa Majesté, la famille paternelle remonterait à Norman Le Bond en 1180 dont la devise est Orbis non sufficit (du latin : « Le monde ne suffit pas », titre d'un des films de la saga), ce qui corrige un peu les origines populaires du patronyme qui signifierait : fermier, paysan, manant.
Bond passe une bonne partie de ses jeunes années à l'étranger, ce qui lui permet de maîtriser parfaitement l'allemand et le français, grâce au travail de son père comme représentant à l'étranger de la firme britannique d'équipement militaire Vickers. À onze ans, Bond perd ses deux parents dans un accident d'alpinisme dans le massif des Aiguilles Rouges près de Chamonix-Mont-Blanc.
Après la mort de ses parents, il part vivre en Angleterre à Pett Bottom dans le Kent chez sa tante Charmian Bond qui achève son éducation. Il entre au Eton College aux alentours de l'âge de 12 qu'il quitte au bout de deux semestres à cause de son comportement « présumé » avec une domestique :P:P:P. Dans l'une des nouvelles de Bons baisers de Paris, il raconte cependant avoir perdu sa virginité lors de sa première visite à Paris à l'âge de 16 ans (c'est pas comme WATA ! :lmao::lmao::lmao:).
Bond quitte Eton pour le collège de Fettes à Édimbourg en Écosse, l'ancienne école de son père où il se fait remarquer pour une aptitude à tous les sports, en particulier la boxe (poids léger). Selon John Pearson et une allusion de Fleming dans Bons baisers de Russie, Bond a aussi étudié un temps à l'université de Genève. À l'exception de Fettes, la présence de Bond dans ces écoles s'établit de façon parallèle à la propre vie de Fleming. Le film On ne vit que deux fois affirme qu'il est diplômé de langues orientales à l'université de Cambridge. À un certain moment, il étudie aussi à l'Université d'Oxford pour apprendre le danois comme il est dit dans le film Demain ne meurt jamais. Bond peut parler plusieurs langues, notamment l'allemand, le français, le russe et le japonais. À plusieurs reprises, il existe des contradictions dans les films et les romans sur les langues qu'il dit connaître.
En 1941, Bond ment sur son âge pour pouvoir entrer dans la Royal Naval Reserve pendant la Seconde Guerre mondiale, d'où il sort avec le grade de commander. Bond conserve son rang alors qu'il est employé dans les services secrets britanniques. Il est promu capitaine dans Gagner, perdre ou mourir de John Gardner mais est redevenu commander depuis les romans de Raymond Benson. Il est aussi devenu membre de la Royal Naval Volunteer Supplementary Reserve (RNVSR) constituée d'officiers avec une grande expérience du terrain.
L'époque où James Bond est devenu un agent 00 n'est jamais explicitement située jusqu'à Casino Royale où sa mise en service est éclairée, bien que des références dans James Bond contre Dr. No laissent suggérer l'année 1952. Selon Fleming, après avoir joint le RNVSR, Bond aurait voyagé en Amérique, à Hong Kong et en Jamaïque. C'est à ce moment-là que Bond aurait rejoint une autre organisation comme le SOE, la branche 00 du Secret Intelligence Service ou même devenu commando dans le 30th Assault Unit.
Bond a gagné ses galons dans la section 00 en accomplissant deux missions énumérées dans Casino Royale. La première est l'assassinat de l'expert en chiffrement japonais au 36e étage du RCA Building du Rockefeller Center à New York. La seconde est l'assassinat d'un agent double norvégien, qui avait trahi deux agents britanniques, à Stockholm en le poignardant dans son lit.
Selon Bond, obtenir le numéro 00 n'est pas si dur tant que l'on est préparé à tuer (eh oui cher Bond n'est ni plus ni moins qu'un assassin assermenté par la Reine !) ; Pearson suggère que Bond a tué pour la première fois alors qu'il était adolescent. Dans les films et les livres, l'attitude de Bond envers son travail est la même : il n'aime pas tuer et se protège par des blagues désinvoltes et des remarques impertinentes ce qui est souvent mal interprété comme une marque de sang-froidtrad 1. Dans les films, Bond n'a jamais montré de malaise dans le fait de donner la mort jusqu'à GoldenEye où il semble troublé par la brutalité de son travail tandis qu'il admet dans Le Monde ne suffit pas que le meurtre de sang-froid est un sale boulot.
Néanmoins, Bond n'hésite pas à tuer lorsqu'il y est contraint, et commet dans les films des actes qui pourraient être considérés comme des meurtres en d'autres circonstances (par exemple en tuant des ennemis désarmés par vengeance2) ou des assassinats politiques3. Le James Bond littéraire reste réservé sur son permis de tuer, désobéissant parfois aux ordres en évitant de tuer s'il pense que la mission peut être accomplie d'une autre façon4. Bond a aussi un profond dégoût pour ceux qui tuent des personnes sans défense, en particulier si la victime est une femme. Il lui arrive d'abandonner ses vœux envers la nation pour venger la mort d'innocents, comme il l'a fait pour Felix Leiter et sa femme assassinée dans le film Permis de tuer.
Dans les livres et les films, Bond a une attitude cavalière face à sa propre mort : lorsqu'il est capturé, il accepte son sort et espère que le MI6 reniera son existence dans une telle situation. Il montre à plusieurs reprises qu'il sait parfaitement résister à la torture (notamment dans Casino Royale :up:, Le monde ne suffit pas :down: et Meurs un autre jour) sans jamais divulguer une seule information à ses tortionnaires.
James Bond est un espion des services secrets britanniques ayant le matricule 007 (« double-zéro 7 ») : le premier zéro signifiant qu'il a l'autorisation de tuer, le second qu'il l'a « déjà » fait. Bond est commander dans la marine britannique, c'est-à-dire capitaine de frégate, mal traduit dans la version française des films par « commandeur » ; il fait partie des troupes de la Royal Naval Reserve. Il est décoré de l'ordre de Saint-Michel et Saint-Georges.
À l'écran, il est connu pour se présenter par la phrase « Mon nom est Bond, James Bond » dès qu'il en a l'occasion, une réplique devenue culte, et pour commander sa vodka-martini « au shaker, pas à la cuillère. » Il est généralement vêtu d'un smoking (l'habit qui le caractérise par excellence), et porte souvent une montre-bracelet. Bond est dépeint comme quelqu'un de très intelligent. Dans Goldfinger, il calcule de tête combien de camions seront nécessaires pour transporter tout l'or de Fort Knox, et combien de temps l'or serait radioactif si la bombe d'Auric Goldfinger explosait. Dans Casino Royale, il montre son aptitude à calculer les probabilités de draws d'un jeu de carte dans un tournoi de poker. Dans les films, le « génie » de Bond est d'ailleurs devenu un running gag durant la période Roger Moore, la blague disparut lorsqu'il fut remplacé par Timothy Dalton.
James Bond est le type même de l'homme qui côtoie la mort tous les jours. S'il lui est permis de tuer, il est, lui aussi, l'objet constant de haines assassines. Ian Fleming voyait en Bond un homme quelquefois tourmenté. Ce n'est guère le cas dans la série de films tournés par Sean Connery et Roger Moore. Timothy Dalton essaiera de redonner une image plus fidèle au modèle de Fleming. Sa réussite artistique fut indéniable, mais cette image de Bond ne fut pas populaire au cinéma, et on passa vite à un autre acteur, en l'occurrence Pierce Brosnan :down:.
James Bond est condamné à vivre au quotidien. Il ne regarde pas l'avenir (à l'exception de l'épisode de son mariage dans Au service secret de Sa Majesté), mais souffre du passé. Jamais le James Bond du cinéma ne montre de crainte de la mort, à une seule exception près : on ne l'entendra crier « Au secours ! » (« Help ! ») que dans la version originale d'Opération Tonnerre (cri traduit par « Eh ! » dans la version française).
Tout plaisir lui tombant sous la main fait l'objet de convoitise : il ne recule devant aucun bon repas, aucun alcool de qualité, et surtout, aucune belle femme :P:P:P. Le sens moral de Bond défie toutes les théories du bien. On comprendra que sa justification se trouve dans son risque routinier de mourir. Pourtant, James Bond peut se mettre en colère ; il y a des choses qui sont « mal » même pour lui, et on observera ce trait de caractère depuis le premier jusqu'au tout dernier film. Il s'agit d'une des rares constantes dans le personnage de Bond à travers les acteurs. Le mal se divise en deux points très simples. D'une, on ne tue pas une femme, sauf en cas de légitime défense. Et de deux, on ne tue pas un agent de l'Intelligence Service ou un ami de Bond (Felix Leiter). En observant la réaction de Bond, campé aussi bien par Sean Connery :up::up::up:, Roger Moore :up:, George Lazenby:up::up:, Pierce Brosnan:down::down::down:, Timothy Dalton:up: ou Daniel Craig:up::up::up:, on reconnaîtra toujours cette perte de contrôle de soi chez Bond.
Enfin, Bond est connu pour être un séducteur invétéré (comme votre serviteur ! :cheers:). La plupart des femmes qu'il rencontre finissent tôt ou tard par lui céder :up::up::up:, qu'elles soient dans son camp ou non. Sexiste, James Bond s'attache rarement aux femmes et en change à chaque mission. Il se marie malgré tout une fois, mais son épouse Tracy est assassinée juste après la cérémonie :sad::sad::sad:. Il est d'ailleurs courant que ses conquêtes perdent malencontreusement la vie parce qu'elles se trouvent mêlées à son aventure, mais il n'en semble jamais très affecté. Ce détachement, qui prend un aspect souvent cynique, est attribué soit à la volonté de Bond de ne pas afficher ou révéler sa souffrance, soit à son désintérêt pour les femmes auxquelles il refuse de s'attacher (attitude renforcée après la mort de son épouse).
James Bond fut créé le mercredi 15 janvier 1952 à 9 heures (heure jamaïcaine, soit 15 heures heure française), par le journaliste britannique Ian Fleming, qui fut également espion au cours de la Seconde Guerre mondiale, pendant ses vacances dans sa propriété en Jamaïque, Goldeneye. Pour baptiser son personnage, Ian Fleming reprit le nom d'un ornithologue, James Bond, dont il lisait l'ouvrage Birds of the West Indies. À ce sujet, Fleming annonce qu'il voulait simplement que le nom et le prénom soient le plus simple possible. Fleming prétend avoir créé James Bond pour se remettre du choc de son mariage, à quarante-trois ans, avec Ann Rothmere.
La plupart des biographes s'accordent à dire que James Bond est la projection idéalisée et romancée de Ian Fleming, l'homme qu'il aurait aimé être. Fleming et Bond partagent plusieurs traits physiques (taille, coupe de cheveux, couleur des yeux), apprécient les mêmes repas (œufs brouillés, café), possèdent les mêmes habitudes (boisson, cigarette), aiment les mêmes styles de femmes, ont fréquenté les mêmes écoles, et ont suivi un chemin similaire dans la marine (les deux étant montés au rang de commandant). Certains pensent que le charme sophistiqué de Bond est basé sur Hoagy Carmichael.
Pour ses histoires, Fleming a admis s'être en partie inspiré de son service dans la Naval Intelligence Division de l'Amirauté britannique. Cependant, les aventures de 007 comportent également une grande part d'imagination et de science-fiction où les jolies filles se succèdent, les méchants sont toujours vaincus et où le monde est toujours sauvé par l'agent britannique.
Il est possible que Ian Fleming ait été influencé par Agatha Christie pour créer le nom de son héros. En effet, le héros de la onzième nouvelle de la série Le Mystère de Listerdale, appelée L'Émeraude du Radjah et parue en 1934, s'appelle James Bond. Cependant, le jeune homme impécunieux de la romancière n'a pas beaucoup de points communs avec le héros de Fleming.
'adaptation de Bond se fait d'abord sur le petit écran avec une adaptation télévisée de Casino Royale en 1954. Malgré le maigre budget alloué, le feuilleton reçoit un accueil encourageant ; à tel point qu'une série télévisée est un instant envisagée. Intitulée Commander Jamaïca, elle aurait dû mettre en scène un certain James Gunn opérant depuis son yacht dans l'archipel des Caraïbes. Ce projet non abouti conduira Ian Fleming à écrire un script de trente pages, qui sera à l'origine du roman James Bond contre Dr. No.
Dès 1959, Fleming désire vendre les droits de son personnage à divers producteurs de cinéma dont Alfred Hitchcock, James Mason et Cary Grant (l'acteur rêvait d'incarnenr l'espion à l'écran mais pas question de se lancer dans une série de films, ce qui aurait eu pour conséquence, selon lui, de le cantonner à un seul rôle). Ensuite sort le roman Opération Tonnerre qui aboutit à un procès en 1961. En effet Fleming avait ré-utilisé la trame d'un script rédigé conjointement avec deux autres scénaristes en 1959 pour ce qui aurait pu être la toute première aventure cinématographique de l'agent 007. Au final, c'est le producteur Kevin McClory qui obtient les droits pour l'adaptation cinématographique du roman qu'il utilisera plus tard d'abord pour un film en co-production avec Eon Productions en 1965, ensuite dans un remake indépendant intitulé Jamais plus jamais en 1983.
Finalement, l'adaptation de James Bond contre le Dr. No réalisée par Terence Young sort en 1962 et le succès est suffisant pour poursuivre la série avec la sortie en 1963 de Bons baisers de Russie. Mais c'est Goldfinger en 1964 qui fera exploser la carrière de Bond jusqu'à l'ériger au rang de star internationale en même temps que son interprète Sean Connery.
Fleming n'aura pas le temps de profiter de ce succès. Il décède le 12 août 1964 d'un infarctus à l'âge de 56 ans. À sa mort, il avait déjà vendu 30 millions de romans ; un chiffre qui sera doublé dès l'année suivante.
Chaque James Bond est bien sûr introduit par l'habituel séquence du Canon (Gun Barrel)
Le douzième et dernier roman de Fleming, L'Homme au pistolet d'or, est inachevé. Gildrose Publications demandent à l'écrivain Kingsley Amis qui a rédigé plusieurs études sur James Bond de rédiger un mémento concernant l'ouvrage. Malgré les réticences de la femme de Fleming, Gildrose décide alors d'autoriser Amis à poursuivre les aventures de l'agent secret. En 1968 sort le premier James Bond non écrit par Fleming Colonel Sun mais les ventes ne connaissent pas le succès des livres originaux. Une autre tentative est faite avec Les Aventures de James Bond Jr destiné aux enfants, toujours sans guère de succès et une biographie apocryphe de John Pearson en 1973.
En 1981, la famille Fleming fait une nouvelle tentative en chargeant John Gardner de poursuivre les aventures littéraires de 007. Cette fois le succès revient et Gardner publie un nouveau roman par an jusqu'en 1995 où lui succède Raymond Benson, premier écrivain qui ne soit pas britannique à reprendre le flambeau, et qui continuera la série jusqu'en 2003.
Depuis 2005, Charlie Higson approche la série par une série de cinq rétro-romans consacrés à La Jeunesse de James Bond dont le premier tome apparaît en tête des ventes dans les pays anglo-saxons.
Sous licence Glidrose, Samantha Weinberg a également commencé en 2005 une trilogie intitulée Les Carnets secrets de Moneypenny et qui devrait se terminer en 2008 pour le centenaire de la naissance de Ian Fleming.
Sebastian Faulks, auteur de romans à succès, a été missionné pour rédiger une nouvelle aventure de James Bond. Prévu spécifiquement pour le centenaire de Fleming et ne constituant pas a priori une nouvelle série mais bien un livre unique. Cet ouvrage, intitulé Le diable l'emporte, est sorti en mai 2008.
Du côté des films, chaque histoire de Fleming a été adaptée jusqu'à Tuer n'est pas jouer en 1987. Par la suite, d'autres films sortent en se basant sur des scénarios inédits jusqu'à Quantum of Solace en 2008.

Ouf voilà ! Alors si tu as d'autres questions sur des domaines bondiens, fais-moi signe !!! :hi::hi::hi:

Thearsenal

J'ai lu jusqu'à \"c'est parti\" :fou:
Victoria Concordia Crescit

Steve

Citation de: VinceNe lancez surtout pas G007 sur le sujet de James Bond, bande de malheureux!  :D
[small]ça et bienvenu chez les ch'tis[/small]
...

G007, t'as pensé quoi de Bienvenue chez les ch'tis ?! :D

gunner007

Ben moi qui suis Ch'ti et ayant vécu près de 20 loooongues années dans la (triste) région parisienne, j'ai adoré ce film !!!  Même s'il n'est LE film comique de l'Histoire du Cinéma, il faut reconnaître qu'il a rencontré son public : plus de 20 millions de spectateurs entre février et juillet 2008 !
Pour moi, c'est une sympathique comédie que j'apprécie de voir et revoir pour ses quiproquos loufoques dus au parler (le fameux 'ch'timi', la langue la plus vieille de notre pays et dont le français est issu), pour son ambiance de douce humanité et de tendresse dégagées par les personnages du film, ses répliques ciselées, son rythme sans temps mort, et ses séquences d'anthologie.

we are the Arsenal !

Citation de: ThearsenalJ'ai lu jusqu'à \"c'est parti\" :fou:
Moi aussi :lmao::lmao:

gunner007

Tas de fainéants ! :lmao::lmao::lmao:

Steve

Là c'était plus court, mais au moins j'ai tout lu :P
Sinon, la pub de Cesc est pas mal aussi ! :D

thegunners31

Citation de: gunner007
Citation de: verokiss14Mais si!! Alors G007 moi qui est jamais vu un épisode de l'agent 007 (véridique) raconte moi tout! :lol:
QUOOOOIIII ??? Oh mais chère petite Gunneuse il va falloir que je t'éduque en 'jamesbonderie' ! C'est partiiii :

James Bond, également connu par son matricule 007, est un personnage de fiction créé en 1953 par l'écrivain et ancien espion britannique Ian Fleming dans le roman Espions, faites vos jeux (Casino Royale).
De 1953 à sa mort en 1964, Ian Fleming publiera douze romans et neuf nouvelles regroupées en deux recueils (dont un posthume) avec le personnage de James Bond. Ses romans ont été d'immenses succès internationaux mais ce sont les très nombreuses et régulières adaptations cinématographiques (plus de vingt entre 1962 et 2008) qui ont fait de James Bond, espion des services secrets britanniques et grand séducteur, un authentique mythe contemporain.
Depuis 1962, James Bond a fait l'objet de nombreuses adaptations cinématographiques et c'est la longue série de films d'EON Productions qui a vraiment créé le mythe de James Bond, incarné par des acteurs successifs dont le premier a été Sean Connery :respect::respect::respect: et de nos jours l'excellent Daniel Craig :up::up::up:. La production de ces films (22 en 2009) qui se poursuit encore constitue l'une des plus longues sagas cinématographiques. Quelques productions indépendantes (2 : CASINO ROYALE avec David Niven dans le rôle titre & JAMAIS PLUS JAMAIS avec le vieillissant mais toujours excellent Sean Connery) mais officielles mettant en scène James Bond ont été aussi tournées.
Après la mort de Fleming en 1964, les aventures de Bond ont été successivement écrites par Kingsley Amis (sous le nom de Robert Markham), John Gardner et Raymond Benson. Par ailleurs, John Pearson a écrit une biographie imaginaire de James Bond et, comme John Gardner et Raymond Benson, Christopher Wood a rédigé les novélisations de ses propres scénarios de films de James Bond. D'autres romans avec le héros de Ian Fleming continuent aussi à paraître avec l'accord de ses héritiers : ainsi, depuis 2005, Charlie Higson rédige une série de romans sur la jeunesse de James Bond et Sebastian Faulks a publié en mai 2008 un nouveau James Bond : Le Diable l'emporte (très bon roman d'espionnage et roman de 007).
L'agent secret a également été décliné en bande dessinée, en jeu vidéo, en jeu de rôle et en jouets...
Son âge se situe approximativement au niveau de la quarantaine. Beaucoup de biographes de Ian Fleming s'accordent à dire que celui-ci n'avait jamais pensé écrire autant d'aventures de James Bond et qu'il a dû « bricoler » la vie de Bond et changer les dates pour s'assurer qu'il possédait l'âge approprié pour le service. Les acteurs qui ont incarné Bond à l'écran avaient des âges variés : George Lazenby n'avait que 29 ans dans Au service secret de Sa Majesté, tandis que Roger Moore avait 57 ans dans Dangereusement vôtre :lol:, son dernier James Bond.
Dans sa biographie fictive sur l'agent secret, John Pearson donne à Bond la date de naissance du 11 novembre 1920, mais Fleming n'a jamais laissé entendre cela dans ses livres. Par contre, le roman On ne vit que deux fois fournit deux indices indiquant que l'année de naissance serait 1924. Dans l'histoire, pensant que celui-ci est mort, M écrit sa nécrologie où il indique que Bond a quitté l'école à 17 ans pour rejoindre le Ministère de la Défense en 1941 en se donnant 19 ans. Si Bond avait 17 ans en 1941, alors il serait né en 1924. De plus, Tiger Tanaka, le chef des services secrets japonais, dit que Bond est né l'année du Rat ce qui soutient l'année 1924. Cependant, dans Moonraker, Fleming écrit que l'âge de Bond est de 37 ans, ce qui signifierait probablement qu'il est né en 1918, lui en donnant 34 dans Casino Royale.
Plus complexe, John Griswold dans son livre autorisé Ian Fleming's James Bond: Annotations and Chronologies lui donne la date de naissance du 11 novembre 1921. Griswold note que l'entrée de Bond au Ministère de la Défense est à l'origine datée dans le manuscrit de Fleming de 1939 et plus tard déplacée en 1941. Griswold s'est un moment disputé pour que Bond ait rejoint l'Amirauté en 1939 (la même année que pour Fleming) et que 1941 soit l'année repère de son recrutement dans une organisation plus tard rattachée au Ministère de la Défense par Fleming. Griswold pense que de nombreux détails dans la chronologie de Bond prennent plus de sens avec l'année originale de 1939. Par exemple, ses parents étant morts quand il avait 11 ans, Bond avait donc 11 ans du premier janvier au 10 novembre 1933 si l'on admet qu'il est né en 1921. Dans Casino Royale, 1933 est mentionnée comme l'année où Bond a « acheté » sa première Bentley. Puisque toutes les années de naissance envisagées font que Bond était trop jeune pour acheter sa Bentley, un scénario plus probable serait qu'il en aurait hérité au décès de son père.
Tout comme son année de naissance, son lieu de naissance est aussi source de débat. Selon John Pearson, Bond est né à Wattenscheid, une petite ville près d'Essen, en Allemagne. Charlie Higson, dans Opération Silverfin, déclare que Bond est né en Suisse. James Bond est le fils d'un Écossais, Sir Andrew Bond of Glencoe, et de Monique Delacroix, une Suissesse du canton de Vaud. Leurs nationalités sont établies dans Au service secret de Sa Majesté. Fleming a accentué le côté écossais de Bond après avoir apprécié le portrait à l'écran de James Bond par l'acteur écossais Sean Connery :up::up::up:, tandis que le nom de la mère de Bond s'inspire d'une fiancée suisse de Fleming. Une aventure prévue, mais jamais écrite, de James Bond aurait présenté la mère de Bond comme Écossaise. Selon l'héraldiste Griffon Or, du Collège of Arms, dans Au service secret de Sa Majesté, la famille paternelle remonterait à Norman Le Bond en 1180 dont la devise est Orbis non sufficit (du latin : « Le monde ne suffit pas », titre d'un des films de la saga), ce qui corrige un peu les origines populaires du patronyme qui signifierait : fermier, paysan, manant.
Bond passe une bonne partie de ses jeunes années à l'étranger, ce qui lui permet de maîtriser parfaitement l'allemand et le français, grâce au travail de son père comme représentant à l'étranger de la firme britannique d'équipement militaire Vickers. À onze ans, Bond perd ses deux parents dans un accident d'alpinisme dans le massif des Aiguilles Rouges près de Chamonix-Mont-Blanc.
Après la mort de ses parents, il part vivre en Angleterre à Pett Bottom dans le Kent chez sa tante Charmian Bond qui achève son éducation. Il entre au Eton College aux alentours de l'âge de 12 qu'il quitte au bout de deux semestres à cause de son comportement « présumé » avec une domestique :P:P:P. Dans l'une des nouvelles de Bons baisers de Paris, il raconte cependant avoir perdu sa virginité lors de sa première visite à Paris à l'âge de 16 ans (c'est pas comme WATA ! :lmao::lmao::lmao:).
Bond quitte Eton pour le collège de Fettes à Édimbourg en Écosse, l'ancienne école de son père où il se fait remarquer pour une aptitude à tous les sports, en particulier la boxe (poids léger). Selon John Pearson et une allusion de Fleming dans Bons baisers de Russie, Bond a aussi étudié un temps à l'université de Genève. À l'exception de Fettes, la présence de Bond dans ces écoles s'établit de façon parallèle à la propre vie de Fleming. Le film On ne vit que deux fois affirme qu'il est diplômé de langues orientales à l'université de Cambridge. À un certain moment, il étudie aussi à l'Université d'Oxford pour apprendre le danois comme il est dit dans le film Demain ne meurt jamais. Bond peut parler plusieurs langues, notamment l'allemand, le français, le russe et le japonais. À plusieurs reprises, il existe des contradictions dans les films et les romans sur les langues qu'il dit connaître.
En 1941, Bond ment sur son âge pour pouvoir entrer dans la Royal Naval Reserve pendant la Seconde Guerre mondiale, d'où il sort avec le grade de commander. Bond conserve son rang alors qu'il est employé dans les services secrets britanniques. Il est promu capitaine dans Gagner, perdre ou mourir de John Gardner mais est redevenu commander depuis les romans de Raymond Benson. Il est aussi devenu membre de la Royal Naval Volunteer Supplementary Reserve (RNVSR) constituée d'officiers avec une grande expérience du terrain.
L'époque où James Bond est devenu un agent 00 n'est jamais explicitement située jusqu'à Casino Royale où sa mise en service est éclairée, bien que des références dans James Bond contre Dr. No laissent suggérer l'année 1952. Selon Fleming, après avoir joint le RNVSR, Bond aurait voyagé en Amérique, à Hong Kong et en Jamaïque. C'est à ce moment-là que Bond aurait rejoint une autre organisation comme le SOE, la branche 00 du Secret Intelligence Service ou même devenu commando dans le 30th Assault Unit.
Bond a gagné ses galons dans la section 00 en accomplissant deux missions énumérées dans Casino Royale. La première est l'assassinat de l'expert en chiffrement japonais au 36e étage du RCA Building du Rockefeller Center à New York. La seconde est l'assassinat d'un agent double norvégien, qui avait trahi deux agents britanniques, à Stockholm en le poignardant dans son lit.
Selon Bond, obtenir le numéro 00 n'est pas si dur tant que l'on est préparé à tuer (eh oui cher Bond n'est ni plus ni moins qu'un assassin assermenté par la Reine !) ; Pearson suggère que Bond a tué pour la première fois alors qu'il était adolescent. Dans les films et les livres, l'attitude de Bond envers son travail est la même : il n'aime pas tuer et se protège par des blagues désinvoltes et des remarques impertinentes ce qui est souvent mal interprété comme une marque de sang-froidtrad 1. Dans les films, Bond n'a jamais montré de malaise dans le fait de donner la mort jusqu'à GoldenEye où il semble troublé par la brutalité de son travail tandis qu'il admet dans Le Monde ne suffit pas que le meurtre de sang-froid est un sale boulot.
Néanmoins, Bond n'hésite pas à tuer lorsqu'il y est contraint, et commet dans les films des actes qui pourraient être considérés comme des meurtres en d'autres circonstances (par exemple en tuant des ennemis désarmés par vengeance2) ou des assassinats politiques3. Le James Bond littéraire reste réservé sur son permis de tuer, désobéissant parfois aux ordres en évitant de tuer s'il pense que la mission peut être accomplie d'une autre façon4. Bond a aussi un profond dégoût pour ceux qui tuent des personnes sans défense, en particulier si la victime est une femme. Il lui arrive d'abandonner ses vœux envers la nation pour venger la mort d'innocents, comme il l'a fait pour Felix Leiter et sa femme assassinée dans le film Permis de tuer.
Dans les livres et les films, Bond a une attitude cavalière face à sa propre mort : lorsqu'il est capturé, il accepte son sort et espère que le MI6 reniera son existence dans une telle situation. Il montre à plusieurs reprises qu'il sait parfaitement résister à la torture (notamment dans Casino Royale :up:, Le monde ne suffit pas :down: et Meurs un autre jour) sans jamais divulguer une seule information à ses tortionnaires.
James Bond est un espion des services secrets britanniques ayant le matricule 007 (« double-zéro 7 ») : le premier zéro signifiant qu'il a l'autorisation de tuer, le second qu'il l'a « déjà » fait. Bond est commander dans la marine britannique, c'est-à-dire capitaine de frégate, mal traduit dans la version française des films par « commandeur » ; il fait partie des troupes de la Royal Naval Reserve. Il est décoré de l'ordre de Saint-Michel et Saint-Georges.
À l'écran, il est connu pour se présenter par la phrase « Mon nom est Bond, James Bond » dès qu'il en a l'occasion, une réplique devenue culte, et pour commander sa vodka-martini « au shaker, pas à la cuillère. » Il est généralement vêtu d'un smoking (l'habit qui le caractérise par excellence), et porte souvent une montre-bracelet. Bond est dépeint comme quelqu'un de très intelligent. Dans Goldfinger, il calcule de tête combien de camions seront nécessaires pour transporter tout l'or de Fort Knox, et combien de temps l'or serait radioactif si la bombe d'Auric Goldfinger explosait. Dans Casino Royale, il montre son aptitude à calculer les probabilités de draws d'un jeu de carte dans un tournoi de poker. Dans les films, le « génie » de Bond est d'ailleurs devenu un running gag durant la période Roger Moore, la blague disparut lorsqu'il fut remplacé par Timothy Dalton.
James Bond est le type même de l'homme qui côtoie la mort tous les jours. S'il lui est permis de tuer, il est, lui aussi, l'objet constant de haines assassines. Ian Fleming voyait en Bond un homme quelquefois tourmenté. Ce n'est guère le cas dans la série de films tournés par Sean Connery et Roger Moore. Timothy Dalton essaiera de redonner une image plus fidèle au modèle de Fleming. Sa réussite artistique fut indéniable, mais cette image de Bond ne fut pas populaire au cinéma, et on passa vite à un autre acteur, en l'occurrence Pierce Brosnan :down:.
James Bond est condamné à vivre au quotidien. Il ne regarde pas l'avenir (à l'exception de l'épisode de son mariage dans Au service secret de Sa Majesté), mais souffre du passé. Jamais le James Bond du cinéma ne montre de crainte de la mort, à une seule exception près : on ne l'entendra crier « Au secours ! » (« Help ! ») que dans la version originale d'Opération Tonnerre (cri traduit par « Eh ! » dans la version française).
Tout plaisir lui tombant sous la main fait l'objet de convoitise : il ne recule devant aucun bon repas, aucun alcool de qualité, et surtout, aucune belle femme :P:P:P. Le sens moral de Bond défie toutes les théories du bien. On comprendra que sa justification se trouve dans son risque routinier de mourir. Pourtant, James Bond peut se mettre en colère ; il y a des choses qui sont « mal » même pour lui, et on observera ce trait de caractère depuis le premier jusqu'au tout dernier film. Il s'agit d'une des rares constantes dans le personnage de Bond à travers les acteurs. Le mal se divise en deux points très simples. D'une, on ne tue pas une femme, sauf en cas de légitime défense. Et de deux, on ne tue pas un agent de l'Intelligence Service ou un ami de Bond (Felix Leiter). En observant la réaction de Bond, campé aussi bien par Sean Connery :up::up::up:, Roger Moore :up:, George Lazenby:up::up:, Pierce Brosnan:down::down::down:, Timothy Dalton:up: ou Daniel Craig:up::up::up:, on reconnaîtra toujours cette perte de contrôle de soi chez Bond.
Enfin, Bond est connu pour être un séducteur invétéré (comme votre serviteur ! :cheers:). La plupart des femmes qu'il rencontre finissent tôt ou tard par lui céder :up::up::up:, qu'elles soient dans son camp ou non. Sexiste, James Bond s'attache rarement aux femmes et en change à chaque mission. Il se marie malgré tout une fois, mais son épouse Tracy est assassinée juste après la cérémonie :sad::sad::sad:. Il est d'ailleurs courant que ses conquêtes perdent malencontreusement la vie parce qu'elles se trouvent mêlées à son aventure, mais il n'en semble jamais très affecté. Ce détachement, qui prend un aspect souvent cynique, est attribué soit à la volonté de Bond de ne pas afficher ou révéler sa souffrance, soit à son désintérêt pour les femmes auxquelles il refuse de s'attacher (attitude renforcée après la mort de son épouse).
James Bond fut créé le mercredi 15 janvier 1952 à 9 heures (heure jamaïcaine, soit 15 heures heure française), par le journaliste britannique Ian Fleming, qui fut également espion au cours de la Seconde Guerre mondiale, pendant ses vacances dans sa propriété en Jamaïque, Goldeneye. Pour baptiser son personnage, Ian Fleming reprit le nom d'un ornithologue, James Bond, dont il lisait l'ouvrage Birds of the West Indies. À ce sujet, Fleming annonce qu'il voulait simplement que le nom et le prénom soient le plus simple possible. Fleming prétend avoir créé James Bond pour se remettre du choc de son mariage, à quarante-trois ans, avec Ann Rothmere.
La plupart des biographes s'accordent à dire que James Bond est la projection idéalisée et romancée de Ian Fleming, l'homme qu'il aurait aimé être. Fleming et Bond partagent plusieurs traits physiques (taille, coupe de cheveux, couleur des yeux), apprécient les mêmes repas (œufs brouillés, café), possèdent les mêmes habitudes (boisson, cigarette), aiment les mêmes styles de femmes, ont fréquenté les mêmes écoles, et ont suivi un chemin similaire dans la marine (les deux étant montés au rang de commandant). Certains pensent que le charme sophistiqué de Bond est basé sur Hoagy Carmichael.
Pour ses histoires, Fleming a admis s'être en partie inspiré de son service dans la Naval Intelligence Division de l'Amirauté britannique. Cependant, les aventures de 007 comportent également une grande part d'imagination et de science-fiction où les jolies filles se succèdent, les méchants sont toujours vaincus et où le monde est toujours sauvé par l'agent britannique.
Il est possible que Ian Fleming ait été influencé par Agatha Christie pour créer le nom de son héros. En effet, le héros de la onzième nouvelle de la série Le Mystère de Listerdale, appelée L'Émeraude du Radjah et parue en 1934, s'appelle James Bond. Cependant, le jeune homme impécunieux de la romancière n'a pas beaucoup de points communs avec le héros de Fleming.
'adaptation de Bond se fait d'abord sur le petit écran avec une adaptation télévisée de Casino Royale en 1954. Malgré le maigre budget alloué, le feuilleton reçoit un accueil encourageant ; à tel point qu'une série télévisée est un instant envisagée. Intitulée Commander Jamaïca, elle aurait dû mettre en scène un certain James Gunn opérant depuis son yacht dans l'archipel des Caraïbes. Ce projet non abouti conduira Ian Fleming à écrire un script de trente pages, qui sera à l'origine du roman James Bond contre Dr. No.
Dès 1959, Fleming désire vendre les droits de son personnage à divers producteurs de cinéma dont Alfred Hitchcock, James Mason et Cary Grant (l'acteur rêvait d'incarnenr l'espion à l'écran mais pas question de se lancer dans une série de films, ce qui aurait eu pour conséquence, selon lui, de le cantonner à un seul rôle). Ensuite sort le roman Opération Tonnerre qui aboutit à un procès en 1961. En effet Fleming avait ré-utilisé la trame d'un script rédigé conjointement avec deux autres scénaristes en 1959 pour ce qui aurait pu être la toute première aventure cinématographique de l'agent 007. Au final, c'est le producteur Kevin McClory qui obtient les droits pour l'adaptation cinématographique du roman qu'il utilisera plus tard d'abord pour un film en co-production avec Eon Productions en 1965, ensuite dans un remake indépendant intitulé Jamais plus jamais en 1983.
Finalement, l'adaptation de James Bond contre le Dr. No réalisée par Terence Young sort en 1962 et le succès est suffisant pour poursuivre la série avec la sortie en 1963 de Bons baisers de Russie. Mais c'est Goldfinger en 1964 qui fera exploser la carrière de Bond jusqu'à l'ériger au rang de star internationale en même temps que son interprète Sean Connery.
Fleming n'aura pas le temps de profiter de ce succès. Il décède le 12 août 1964 d'un infarctus à l'âge de 56 ans. À sa mort, il avait déjà vendu 30 millions de romans ; un chiffre qui sera doublé dès l'année suivante.
Chaque James Bond est bien sûr introduit par l'habituel séquence du Canon (Gun Barrel)
Le douzième et dernier roman de Fleming, L'Homme au pistolet d'or, est inachevé. Gildrose Publications demandent à l'écrivain Kingsley Amis qui a rédigé plusieurs études sur James Bond de rédiger un mémento concernant l'ouvrage. Malgré les réticences de la femme de Fleming, Gildrose décide alors d'autoriser Amis à poursuivre les aventures de l'agent secret. En 1968 sort le premier James Bond non écrit par Fleming Colonel Sun mais les ventes ne connaissent pas le succès des livres originaux. Une autre tentative est faite avec Les Aventures de James Bond Jr destiné aux enfants, toujours sans guère de succès et une biographie apocryphe de John Pearson en 1973.
En 1981, la famille Fleming fait une nouvelle tentative en chargeant John Gardner de poursuivre les aventures littéraires de 007. Cette fois le succès revient et Gardner publie un nouveau roman par an jusqu'en 1995 où lui succède Raymond Benson, premier écrivain qui ne soit pas britannique à reprendre le flambeau, et qui continuera la série jusqu'en 2003.
Depuis 2005, Charlie Higson approche la série par une série de cinq rétro-romans consacrés à La Jeunesse de James Bond dont le premier tome apparaît en tête des ventes dans les pays anglo-saxons.
Sous licence Glidrose, Samantha Weinberg a également commencé en 2005 une trilogie intitulée Les Carnets secrets de Moneypenny et qui devrait se terminer en 2008 pour le centenaire de la naissance de Ian Fleming.
Sebastian Faulks, auteur de romans à succès, a été missionné pour rédiger une nouvelle aventure de James Bond. Prévu spécifiquement pour le centenaire de Fleming et ne constituant pas a priori une nouvelle série mais bien un livre unique. Cet ouvrage, intitulé Le diable l'emporte, est sorti en mai 2008.
Du côté des films, chaque histoire de Fleming a été adaptée jusqu'à Tuer n'est pas jouer en 1987. Par la suite, d'autres films sortent en se basant sur des scénarios inédits jusqu'à Quantum of Solace en 2008.

Ouf voilà ! Alors si tu as d'autres questions sur des domaines bondiens, fais-moi signe !!! :hi::hi::hi:
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Football is a belief, Arsenal is my religion and Thierry Henry is my God > TH14 LEGEND :respect: 228

jid31

:lmao: :lmao:
Merci Wikipédia !!

gunner007

Oui, puisque j'ai contribué à la rédaction et la mise à jour d'une grande partie des articles sur 007... :up::up::up: Merki Wikipédia :hi::hi::hi:

Vince

Vous pouvez pas dire que je ne vous ai pas prévenu! :D
En tout cas le pavé à la sauce G007 est énorme :lmao:

Citation de: gunner007Enfin, Bond est connu pour être un séducteur invétéré (comme votre serviteur ! :cheers:).
:respect::respect::lmao:

we are the Arsenal !

Citation de: gunner007Enfin, Bond est connu pour être un séducteur invétéré (comme votre serviteur ! :cheers:).
Je dirais plutôt que le serviteur est un obsédé invétéré ouais :lmao: