Marouane Chamakh

Démarré par TheArmoury, 21-05-2010, 17:39:37

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Vince

Je suggère rien de plus que ce que j'ai dis ;)

17Alexis

#2131
En même temps sur la base des 4 années de OG et des 4 dernières de RVP, 82 contre  89 buts, si on prend votre point de vu en considérant RVP comme un atout au combien supérieur à OG, c'est plus à RVP de rougir qu'un attaquant aussi peu talentueux ai marqué quasi autant de buts que lui :lol:

Bouligoal

RVP passait son temps
229 !!!!!!!!!!!!!!!!!!


Lba

#2134
Faut-il rappeler qu'

17Alexis

#2135

Vince


Vince

Ca y est, il assume sa calvitie, et il trouve un nouveau Club (Cardiff City) :up:


gunner597

il lui en fallu du temps pour accepter sa calvitie :lmao:

en tout cas le jour ou il est parti d'Arsenal sa carrière s'est effondré

Atys

Oui enfin elle s'est déjà bien effondrée à Arsenal ...

Son of a Gun

De quelle carrière on parle?

En tous cas, je suis assez choqué par sa calvitie surprise.


gunner597

Citation de: Son of a Gun le 12-10-2016, 12:34:53
De quelle carrière on parle?

En tous cas, je suis assez choqué par sa calvitie surprise.


sa modeste carriere :shrug:

Lba

On ne va pas lui cracher dessus quand même, quand il est arrivé son début de saison était bon puis il a perdu du temps de jeu quand RVP n'était plus blessé. Je crois même qu'après son départ il venait voir quelques matches chez nous, il a toujours été respectueux.

clarck59

Oui, il marquait des buts assez régulièrement avant que RVP soit epargné par les blessures et qu'il se mette à inscrire but sur but.
Son passage à Arsenal ne m'a pas déplu.
Il n'a juste pas eu de chance que RVP se révèle réellement à ce moment là.
Bonne chance à lui dans son nouveau projet.

Vince

J'ai jamais vraiment été convaincu par ce recrutement. Et quand il a effectivement été décisif au tout début de sa carrière à Arsenal (en réalité les 4 premiers mois, où il a marqué 11 de ses 14 buts en 3 ans à Arsenal), je me faisais pas d'illusion.

Il avait de gros problème pour marquer, on aurait dit que c'était pas vraiment son truc, c'est problématique pour un avant centre. Son truc c'est avant tout que c'est un joueur qui n'a pas peur des duels, vu sa carrure, et qui est très tourné vers le collectif. Il aurait fait une bien meilleur carrière à d'autres postes. Après évidemment, il était pas méchant, donc aucune amertume. Mais pour moi c'est un joueur qui n'avait pas le niveau pour Arsenal.

Lba

C'était un pari de plus, un joueur gratuit dans une période ou on comptait encore nos sous.

Vince

C'est aussi révélateur de la pauvreté technique et offensive de la L1 à l'époque. Qu'un mec qui aurait du faire carrière comme milieu défensif se retrouve être un des meilleurs attaquants du championnat de france, voir le meilleur ..

Vince

Citation de: Lba le 12-10-2016, 13:59:12
On ne va pas lui cracher dessus quand même, quand il est arrivé son début de saison était bon puis il a perdu du temps de jeu quand RVP n'était plus blessé. Je crois même qu'après son départ il venait voir quelques matches chez nous, il a toujours été respectueux.

Tiens il a pas du te lire, voilà ce qu'il vient de déclarer.

Chamakh - Wenger m'a manqué de respect

"Quand j'ai commencé, ça s'est super bien passé. J'ai profité des blessures de Van Persie, ce qui m'a laissé le champ libre. J'ai joué pendant six mois, j'ai marqué des buts, j'ai été décisif. En janvier, Robin est revenu de blessure et du jour au lendemain, j'ai atterri sur le banc sans justification.

[En voulez-vous à Arsène Wenger ?] Oui, c'est clair que je lui en veux un petit peu parce que je pense que je méritais un temps de jeu supérieur à ce qu'il m'avait donné et promis. L'année s'est écoulée et, en début de saison, il m'a dit qu'on allait peut-être changer notre schéma tactique et que j'allais peut-être débuter avec Robin. Ce n'étaient que des promesses, il n'y a rien eu au bout. Cette année-là, Robin a tout explosé, il a été joueur de l'année. Je ne pouvais rien dire et je n'allais pas aller le voir (Arsène Wenger, ndlr) et lui dire que je devais jouer à sa place. Robin était beaucoup plus fort que moi.

[Estimez-vous qu'il vous a manqué de respect ?] Pour les objectifs que j'avais, je pense que c'était un petit peu un manque de respect. J'avais bien commencé et du jour au lendemain il m'éclipse comme ça... Il me demandait d'être patient, me disait que Robin n'allait pas enchaîner plus de dix matchs, qu'il allait se blesser, mais ça a duré toute une année. Il fallait à un moment donné que je prenne une décision et que je quitte le club."

Lba

Il n'y a aucun manque de respect dans son message.

Skoxy

CitationIl me demandait d'être patient, me disait que Robin n'allait pas enchaîner plus de dix matchs, qu'il allait se blesser
Pas de chance Marouane :lol:

Nono

Citation de: Skoxy le 12-10-2016, 22:31:09
CitationIl me demandait d'être patient, me disait que Robin n'allait pas enchaîner plus de dix matchs, qu'il allait se blesser
Pas de chance Marouane :lol:

:lol:

vanpverm

Le mec il a pas réussi à être titulaire à Crystal Palace, n'a pas été signé par West Brom mais il explique qu'il aurait fallu mettre un peu plus souvent sur le banc le meilleur joueur de PL. C'est pas un manque de respect c'est la loi du haut niveau.

Bouligoal

Citation de: Skoxy le 12-10-2016, 22:31:09
CitationIl me demandait d'être patient, me disait que Robin n'allait pas enchaîner plus de dix matchs, qu'il allait se blesser
Pas de chance Marouane :lol:
Tiens c'est marrant, Arsène arriverait-il à deviner qu'un joueur ne va pas tenir 10 matchs d'affilée ? :lol:
229 !!!!!!!!!!!!!!!!!!

Bouligoal

Citation de: Lba le 12-10-2016, 15:42:13
C'était un pari de plus, un joueur gratuit dans une période ou on comptait encore nos sous.
C'est la principale raison de son recrutement : il était gratuit. On savait tous (enfin en majorité) qu'il n'avait pas le niveau.
229 !!!!!!!!!!!!!!!!!!

gunner4life

rien d inédit. personne même wenger ne pouvait prévoir que rvp n allait plus se blesser....vu son antériorité c était difficile à croire et en plus il a été exceptionnel. chamakh était remplaçant, c'etait logique.  c était plus un joueur de "petit" club sans que ce soit péjoratif.
il arrive dans un grand club avec de la concurrence, ce n'était pas pour lui.

17Alexis

Franchement sur cette période aucun attaquant au monde ne passait devant RVP dans la rotation. A cette époque il y'avait Messi/Ronaldo et rien d'autre même un Suarez je ne le prenais pas à sa place

DiosBergkamp

Il le dit, que van persi était bien meilleur que lui. Mais c'est vrai qu'à sa place ça doit foutre les boules de faire un bon début de saison et ensuite d'être mis à la cave. Mais on n'avait pas de place pour la rotation, on devait aligner le meilleur 11 chaque match.

RedArmy

Il vient d'annoncer sa retraite ... il n'a plus rejoué depuis plus de deux ans ! Donc techniquement ça fait deux ans qu'il est déjà à la retraite !!

gunner597

Il était dans la matinal de BIS le week end dernier .. il a bien mangé durant ces 2 ans

Lba

#2159
https://www.sofoot.com/articles/marouane-chamakh-je-nai-jamais-eu-une-connexion-comme-avec-gourcuff



(...)

Ce départ libre, c'est le seul petit bémol de ton passage à Bordeaux.

Les supporters ne sont peut-être pas au courant des tenants et des aboutissants. À la base, j'étais prêt à prolonger. C'est la façon dont ils ont voulu me prolonger que je n'ai pas appréciée. Au moment où on gagne le titre, on commence les échanges avec Arsène, qui perdait Adebayor à l'époque. En fait, il y avait un antécédent avec Triaud, car Wiltord avait fait grève pour passer de Bordeaux à Arsenal (en 2000). Notre président, il l'avait comme ça. (Il pince sa gorge.) Je me retrouve au milieu de quelque chose dont je n'étais pas au courant. Je suis un dommage collatéral de tout ça. Donc il ne me laisse pas partir à Arsenal et je me concentre sur les Girondins. Il y avait une offre autour des 9-10 millions d'euros à un an de la fin de mon contrat, c'était raisonnable. Je lui dis qu'avec le titre, c'est peut-être le moment de partir, il me dit que non car il y a la Ligue des champions. Ça n'est pas une question d'argent, mais de vouloir partir sur une bonne note. J'avais un agent. Le président avait promis, je crois, 1,8 million d'euros à celui qui arriverait à me faire prolonger. Il y a des gens comme (Jean-François) Larios qui étaient venus me menacer.


Comment ça ?

Il m'appelait à 3-4 heures du matin tous les jours pour que je prolonge. Alors que ça n'était pas mon agent, mais il était peut-être sous substances. Au bout de deux ou trois semaines, je l'ai dit à Gasset, il a passé un coup de fil, et derrière c'était fini. Et il n'y a pas que ça, il y a plein de choses qui ont fait que je devais partir. Je suis peut-être gentil, mais je ne suis pas c**. J'aurais pu jouer avec le frein à main (lors de sa dernière saison), mais j'ai tout donné pour essayer de partir sur une bonne note. Ça ne s'est pas passé comme prévu sur l'indemnité versée aux Girondins. Moi, j'avais tout fait pour que ça se passe bien.


Tu avais vraiment ce souhait de rejoindre Arsenal.

Une fois que j'ai confirmé aux Girondins, c'était tout pour la Premier League. J'avais l'opportunité de rejoindre mon club préféré, même si c'était celui qui me faisait la moins bonne offre. J'avais des offres en Italie, en Russie, avec des primes à 12 millions d'euros. J'ai pratiquement tout refusé parce que c'était une conviction, que je sois titulaire ou pas. À l'époque, Arsenal était connu pour ne pas offrir de gros salaires. Liverpool me proposait quasiment deux fois plus.

Il vient d'où, ton amour pour Arsenal ? La période des Invincibles ?

Exactement. C'était bien sûr Arsène, Thierry Henry, Wiltord, Pirès, Vieira, Bergkamp. C'était une équipe de fous à l'époque. Et depuis ça, je suis resté un Gunner. (Sourire.)

Quand tu arrives là-bas, tu sens que tu grimpes d'un step ?

Bien sûr. Il y avait Van Persie et un Danois, comment il s'appelait p***** ? (On lui souffle Nicklas Bendtner.) Voilà, donc j'allais me battre avec eux. J'ai eu la confiance du coach, donc ça s'est très bien passé. Au début en tout cas. J'ai eu beaucoup de réussite à mon arrivée. Samir Nasri m'a pris sous son aile, c'est là que notre amitié s'est créée. On est plus que des frères, même s'il nous a quittés un an après, cet enculé est parti pour City. Mais il habitait toujours à Londres, il faisait des allers-retours en train. On se voyait souvent.

S'il n'y avait pas eu Robin van Persie, tu penses que tu te serais imposé à Arsenal ?

Déjà, s'il n'y avait pas eu Robin van Persie, je pense qu'Arsène aurait recruté un autre joueur. Parce que dans ce profil, Robin était beaucoup plus fort que moi. C'est quelque chose que j'ai toujours accepté, je ne suis pas fou. Je ne pouvais pas me permettre d'aller voir Arsène et de dire : « Je dois jouer à la place de Robin. » Moi, ce que je voulais, c'était d'avoir beaucoup plus de temps de jeu. Jamais je n'ai essayé de me comparer à lui, parce qu'on avait un jeu différent, et lui était un joueur de classe mondiale. Il a quelque chose de spécial, Robin. J'en ai profité quand il n'était pas là (gêné par les blessures, Van Persie n'a connu qu'une seule titularisation avant décembre), et quand il est revenu, il a marché sur l'eau pendant un an et demi et il a pris le trophée de meilleur joueur de Premier League (en 2012). Je relativise comme ça. Je suis resté trois saisons à Arsenal, j'ai réalisé mon rêve, marqué quelques buts. C'est quelque chose qui restera, dans ma vie. Je finis sur un match de référence contre Reading (victoire 5-7). Ce match, il nous a fait perdre la tête. C'est un match mémorable, pour le club et aussi pour moi, parce que je marque deux buts et je m'en vais un mois après.





Elle était comment, ta relation avec Robin ?

C'était super d'entrée. Bon, il est néerlandais, il a un caractère un peu spécial, mais je m'entendais super bien avec lui. Je ne pouvais qu'être spectateur et applaudir. Ça marchait très bien, parce que sa femme est d'origine marocaine. J'étais surpris parce que quand je suis arrivé, il m'a parlé en marocain. Podolski, pareil, je me dis : « C'est quoi ce truc de fou ? » Il parlait mieux que moi. Après, j'ai appris que sa femme était marocaine et qu'il avait grandi dans un entourage marocain.

Et ta relation avec Wenger, elle s'est détériorée sur la fin ?

Oui, beaucoup, parce qu'il n'y avait plus de communication. De manière générale, je ne suis pas là pour me faire ami avec le coach. C'est sa femme qui m'appréciait beaucoup en dehors, je m'en souviens. Ce que je demandais, c'est de jouer un peu plus, je ne lui demandais pas de changer de tactique. On est rentrés dans un dialogue de sourd. J'étais patient, mais avec le meilleur joueur de Premier League à côté, je n'avais pas les arguments. Ça s'est quand même terminé sur une bonne note. Au moment où Crystal Palace me veut, je fais tout pour aller là-bas parce que je voulais vraiment rester à Londres. Mais c'était compliqué avec le directeur sportif d'Arsenal et quand j'ai appelé Arsène, il a réglé la situation en cinq minutes. Il voulait me faire plaisir, il avait compris que c'était ce qu'il me devait. C'était un super coach, un érudit. On s'entraînait sur une pelouse spéciale le vendredi : la même pelouse qu'à l'Emirates, avec les mêmes distances, au détail près. Il ne néglige rien. Avec Arsène, tu apprends beaucoup sur la tactique.


C'est son management que tu déplores ?

Quand il faut prendre une décision, il va peut-être enlever la personne qui lui posera le moins de problèmes. Énormément de joueurs me disaient : « Pourquoi tu ne joues pas ? Pourquoi t'es pas dans le groupe ? » Samir, Abou (Diaby), tout le monde. Je ne comprenais pas moi-même. Mais c'est le football. Aujourd'hui, si je devais signer pour la moitié de la carrière que j'ai faite, je le ferais. Même toute une carrière en Ligue 2, je signe demain. Mon plus grand regret, ce n'est pas de ne pas avoir fait de Coupe du monde, mais de ne pas avoir fait de CAN au Maroc. Je voulais finir en beauté en 2015, pour boucler la boucle. Mais finalement, on ne la fait pas à cause d'Ebola (n'ayant pas obtenu le report de la compétition, le pays avait renoncé à l'organiser, en raison de l'épidémie). Je vous jure, c'est sûr qu'on l'aurait gagnée.


Durant ton passage en Angleterre, il y a aussi eu West Ham.

Je me fais prêter de janvier à mai, mais je prends la plus grosse carotte de l'histoire, par Sam Allardyce, qui d'ailleurs s'était fait virer quand il était sélectionneur, parce qu'il avait fait des magouilles. Moi, il m'a niqué. Je ne voulais pas parler parce que j'aurais pu tuer sa carrière. Il m'appelle tout le mois de décembre, pratiquement tous les jours, pour me dire qu'il me veut en prêt parce qu'Andy Carroll s'est blessé. J'arrive là-bas, je joue un ou deux matchs, et après, c'est à peine s'il me parle. Il m'avait dit qu'Andy Carroll serait absent trois ou quatre mois, et il revient au bout de trois semaines. C'était irrationnel. Ce mec m'a dégoûté du football. Tant mieux qu'il ne soit plus dans le milieu du foot. Alou Diarra m'avait dit avant d'arriver : « Attention, entre ce qu'ils disent et ce qu'ils font, il y a un gros fossé. » Si je l'avais écouté, j'aurais peut-être fait un autre choix.

Ça s'est mieux passé pour toi à Crystal Palace.

Je découvre un Londres différent, populaire. C'était un club un peu plus relax, qui me ressemble plus. Le challenge du président, c'était de se maintenir deux fois d'affilée, ce que le club n'avait jamais fait. Et on l'a tenu. On nous appelait l'équipe de légende. Il a fallu se battre pour la survie, c'était ça tous les jours. On était une équipe casse-couille à jouer, et moi j'appréciais ça. C'est nous qui enlevons le titre à Liverpool. J'ai toujours connu des équipes avec le ballon, haut de tableau, où c'était à l'adversaire de jouer par rapport à nous. Là, c'était le contraire. Dès le lundi, on faisait de la vidéo pour savoir comment les bloquer. Parce qu'on était conscients qu'on leur était inférieurs. Dans le jeu, il me mettait un peu plus en retrait, pour essayer de faire le relais avec les milieux. Je pars sur la finale de FA Cup, même si je refuse d'être dans le groupe. J'étais blessé, et le président voulait que je vienne assister à la finale, je lui dis : « Qu'est-ce que j'en ai à foutre, fais plaisir à un jeune, mets-le dans le groupe. » Je ne savais pas qu'on irait en finale, j'avais prévu de partir à Cuba avec ma famille et mes beaux-parents.


Comment s'est passée ton intégration là-bas ?

L'un de mes premiers matchs, c'est à Southampton, et je m'en souviendrai toute ma vie parce que ce jour-là, je me bats avec un coéquipier. Un mec qui s'appelle Moxey, latéral gauche (Dean Moxey, également passé par Derby County et Bolton, NDLR). Pendant le match, il ne fait que mal me parler, il dit que je ne défends pas. Au bout de 20-25 minutes, je ne suis même plus dans mon match. À chaque fois que je descends, je m'embrouille avec lui. À la mi-temps, je vois rouge. Je l'attends, bagarre, on nous sépare. Même Pochettino (alors coach adverse, NDLR) était venu, tout le monde. J'ai regretté, parce que ce n'était pas moi. Mais c'était la meilleure façon de se faire respecter. Le coach me dit : « Viens te battre avec moi, laisse-le. » Mais je ne vais pas me battre avec toi ! Je crois qu'il va me sortir, mais en fait il me laisse dans le match. Je m'en suis sorti avec une amende. Je ne me serais jamais imaginé me battre et je n'ai plus jamais eu à le faire. Quand j'ai commencé, aux Girondins de Bordeaux, j'ai vu Dugarry et (Eduardo) Costa se battre, j'avais jamais vu ça de ma vie, j'en tremblais. Et je me suis retrouvé acteur en 2014. Mais derrière, j'ai tout donné, on s'est maintenus, et on voit où ils en sont aujourd'hui, c'est juste exceptionnel.


(...)

J'ai posté seulement la partie sur la PL/Arsenal mais il parle bien sûr beaucoup de la L1 et Bordeaux. Et de ses cheveux :

- Les cheveux gominés, ça aide pour le jeu de tête ?

"Au contraire, ça m'a dérangé parce que parfois, j'avais un peu de gel qui tombait et ça me brûlait les yeux. C'est vrai qu'à l'époque, je faisais des coupes un peu bizarres, et ça arrivait jusqu'au Maroc. Les coiffeurs me disaient que les gens demandaient « la coupe à la Chamakh ». Il y a 15 ans, il n'y avait pas un coiffeur qui ne me le disait pas. C'était juste n'importe quoi ici."